Nombre de Visites sur ce Site : 9146
Aujourd'hui, nous sommes le : 17/5/2025
(Dernière mise à jour : 03/05/2025)
LA CITADELLE
Jean-Michel Blanquer, extrait


" Bayrou est le génial inventeur du volontarisme d'atmosphère, une fumée que l'on sent toujours mais que l'on ne voit jamais. Ami des forces de l'esprit, il reste à l'état gazeux... Un peu comme si Foch, en septembre 1914, avait décidé plutôt que de livrer la bataille de la Marne, d'écrire un intéressant traité sur l'art militaire. Et qui, plein de lucidité rétrospective, aurait occupé le reste de ses jours à expliquer à une France envahie ce qu'il aurait fallu faire."
" Il faut que l'Ukraine ait un statut de neutralité et qu'elle ne rentre pas dans l'OTAN "
Eric Zemmour, sur BFM TV, le dimanche 2 mars 2025.


image de Eric Zemmour

Joyeux Noël !
Naissance de Jésus.


image crèche de Noël

Altercation entre un chauffeur de bus et un adolescent qui ne paie pas son titre de transport
https://france3-regions.francetvinfo.fr/


Le 6 décembre 2024, un chauffeur de bus de la ligne Linéo 1 à Toulouse a eu une altercation avec un mineur refusant de payer son titre de transport.

Le ton monte entre le chauffeur et l'un des adolescents. "Tu descends très vite", lui ordonne le chauffeur. Mais le garçon refuse, l'insulte et lui crache dessus. Le conducteur sort de sa cabine et le bouscule en l'attrapant par le col. L'adolescent réplique alors avec un flot d'insultes en lui donnant un coup de pied.

Résultat : le chauffeur est sanctionné !

Il doit passer un entretien préalable avant un conseil de discipline. Il sera donc entendu jeudi 19 décembre 2024 par la direction du Réseau Tisséo pour ce dérapage.

Il ne sera pas licencié, mais il fera l'objet d'une sanction. la Direction générale a donc opté pour une mesure de mise à pied d'une journée pour avoir quitté son poste et s'être exposé au danger. Il aurait dû ne rien faire.

Conclusion : certaines personnes ont le droit de ne pas payer leur titre de transport !
Il est urgent de réduire la dette publique
www.institutmontaigne.org


82 % des Français jugent urgent de réduire la dette publique en France

Pour les Français, les 3 postes de dépense publique qu’il faudrait réduire en priorité sont les aides aux entreprises, les allocations familiales et le chômage.

74 % des Francais pensent qu'en utilisant differemment l'argent public, on peut maintenir voire ameliorer la qualité des services publics tout en reduisant les dépenses.

L'opinion publique est très critique concernant le système fiscal : argent public mal employé, lutte insuffisante contre la fraude (sociale et fiscale) et une trop faible redistribution des richesses.
En 2021, La France a versé 13 milliards d'aide publique au développement
www.europe1.fr


En 2021, la France a versé 13 milliards d'euros en 2021 aux pays éligibles à l'Aide Publique au Développement (APD) sous forme de dons ou de prêts. Avec ce versement, l'Hexagone est le cinquième plus gros contributeur mondial, derrière les Etats-Unis , l'Allemagne , le Japon et le -Uni . Sans surprise, l'Afrique capte une partie de cette aide. La France a versé 5,6 milliards d'euros à ce continent en 2021. La Chine , un géant économique, bénéficie encore de la solidarité des français, ce qui est beaucoup plus inattendu.

Quand on parle de la Chine, on parle tout de même de la deuxième puissance économique mondiale. Avec son PIB six fois supérieur à celui de la France, le pays dirigé par Xi Jinping reste un pays en développement pour l'OCDE.
L'organisation se base sur le revenu par habitant pour définir les pays bénéficiaires de l'aide. Avec un revenu annuel par habitant d'un peu moins de 12.000 euros, elle apparait bien au-delà du cinquantième rang mondial. Une raison pour laquelle la France apporte toujours son aide au géant asiatique. Après l'Allemagne, Paris est même le plus gros contributeur de l'aide publique chinoise, avec près de 400 millions d'euros versés entre 2018 et 2020. En 2021, l'accueil de milliers de jeunes étudiants chinois a coûté 64 millions d'euros.

Dans un récent rapport, le député Marc Le Fur critique d'ailleurs l'altruisme budgétaire de la France envers plus riche qu'elle. La situation risque de perdurer puisque la Chine ne devrait pas sortir de la liste des bénéficiaires de l'aide publique avant 2026 ou 2027, à cause des règles de l'OCDE.
Que faire dans son jardin pour créer des zones d’accueil propices aux oiseaux, aux insectes, et à la flore sauvage et spontanée ?


Quelques démarches :

  1. Prévoyez un espace pour semer des plantes dont les fleurs apportent des couleurs, mais aussi attirent les insectes butineurs. Les plantes qui produisent du nectar constituent une manne de nourriture pour les insectes pollinisateurs qui, selon les espèces, butineront des végétaux adaptés à leur morphologie. Fleurs profondes pour les papillons équipés d'une trompe ou fleurs présentant un nectar plus superficiel pour les abeilles. Les plantes sont dites mellifère lorsqu'elles peuvent accueillir les abeilles produisant le miel. Les tulipes, le lilas ou les pervenches, mais aussi les roses, le mimosa, le dahlia, le catalpa, le lin, l'abélia, et la pulmonaire ne sont pas mellifères. Ce n'est pas le cas des agrumes, de l'échinacée, de la bourdaine, de la reine des prés, du tilleul classique (pas le tilleul argenté soupçonné de toxicité pour ces insectes), du robinier, du chèvrefeuille, de la callune, du cotoneaster, du framboisier, du mûrier, du thym, du lierre, et de la vigne vierge. Plantez également de l'agastache, du bleuet, de la bourrache, de la centaurée, du colza, de la giroflée, de l'hysope, de la menthe-réglisse coréenne (Agastache rugosa), du pissenlit, des sauges, du trèfle et de la valériane.


  2. Concernant la tonte du gazon, une fauche annuelle suffit, de façon à laisser pousser et fleurir la végétation spontanée. Vous verrez apparaître des sauterelles.


  3. Disposez une haie autour de votre jardin. Elle sert de lieu d'alimentation et de reproduction pour les oiseaux. Il faut des espèces locales et variées. Exemples : l' aubépine et le prunellier. Les fruits sont consommés par les oiseaux. Les araignées également, pourront tisser leur toile. Ne taillez pas la haie entre avril et juillet, car les oiseaux font leur nid durant cette période.


  4. Ne supprimez pas le lierre. Il fleurit en automne. Les fleurs attirent les insectes butineurs. Les fruits sont consommés par les oiseaux.


  5. Disposez des nichoirs pour les oiseaux, des gîtes pour les chauves-souris, et des hôtels à insectes. Pour la ponte des abeilles, guêpes solitaires, et autres insectes butineurs, disposez des bûches en bois perforées de divers diamètres. Une caisse en bois avec un tas de branches par-dessus constitue un abri pour le hérisson. Un pot de fleur renversé, rempli de foin ou de paille, et suspendu, sert de refuge, la journée, pour les forficules, qui se nourrissent la nuit des pucerons.


  6. Créez un point d'eau. Une mare permet aux grenouilles et aux crapauds de se reproduire et attire de nombreux insectes.


  7. Plantez des arbres si l'espace le permet, des arbres fruitiers, et des arbustes pour constituer une strate arbustive. A partir de 50 cm, les arbustes servent de refuge pour le muscardin, le merle noir, le bruant zizi. Au-delà de un mètre, le verdier d'Europe, le chardonneret élégant, la linotte mélodieuse, et le pinson des arbres, construisent leur nid. Plus haut, dans la frondaison des branches, la tourterelle des bois, le coucou gris, et l'écureuil roux, font leur apparition. Par ailleurs, la floraison des arbres attire de nombreux insectes.


  8. Compostez vos végétaux directement dans votre jardin. Les feuilles mortes, les tontes et les déchets de taille constituent de la matière organique qui servira à amender votre sol. Ne les transportez pas en déchetterie. C'est dommage ! La méthode la plus simple est le compostage en tas. Il faut un endroit ombragé ou semi ombragé, à l’abri du vent. Vous pouvez aussi faire du paillis : coupez en petits morceaux les végétaux et les feuilles mortes, et épandez-les aux pieds des plantes, arbustes, haies, potager… Ce paillis est une protection idéale contre le froid et le gel. Vous pouvez aussi ne pas ramasser les feuilles mortes : elles se décomposeront toutes seules, et se transformeront en engrais naturel.


  9. Associez les cultures. Exemples d'associations gain de place : Carotte-poireau, chou-carotte-radis, blette-mâche, courge palissée-laitue, courgette-maïs, panais-fèves, laitue-radis, ail-mâche, maïs-radis, pois à rames-laitue. Pour lutter contre les pucerons, utilisez la capucine. La fleur attire la plupart des pucerons.


  10. N'utilisez pas de produits phytosanitaires.
    Les remèdes pour luttre contre les limaces :

    • disposez sur le sol un piège à tuiles ou à planches : Les limaces dès les premières heures chaudes de la journée se réfugient à l’ombre. Il vous suffira de mettre en place des petits empilements de tuiles ou encore de planches en bois par exemple. Les limaces s’y glisseront, vous n’aurez plus qu’à les récupérer manuellement.

    • Les plantes anti-limaces : Certaines plantes sont répulsives pour la limace, c’est le cas de la consoude, l’ail, la Bourrache, les Fougères, les Tagètes ou le fenouil par exemple.

    • Traitement biologique : L’ail en décoction est aussi un excellent répulsif, il suffit de mélanger un peu d’eau avec de l’ail et de vaporiser le liquide directement sur les pieds des plantes. A renouveler de temps en temps, notamment en cas de pluie.

    • Le marc de café : En le plaçant au pied des végétaux, le marc de café est un bon répulsif contre les limaces et les escargots (bon répulsif également contre la mouche de la carotte, mouche du poireau, les nématodes des racines et les pucerons).

    • Les cendres de bois : Les cendres de bois issus de la cheminée ou du barbecue constituent les meilleurs remparts contre les limaces. La contrainte de la cendre est qu’il faut la renouveler après chaque pluie.

    • Le compostage de surface : Les matières organiques fraiches peuvent également attirer les gastéropodes et les détourner des jeunes plants tout juste repiqués dans votre potager. Déposez, comme un compost de surface, vos épluchures de légumes, les limaces préfèreront dévorer votre appât naturel que vos précieux plants.
Statue du général Marcel Bigeard à Toul, sa ville natale
Colonel Christian Châtillon
www.asafrance.fr


En démocratie, donc en France, tout le monde a le droit de s’exprimer et de faire part de ses opinions. Encore faudrait-il qu’elles soient valablement étayées et émises par des associations relativement objectives ou des personnalités au-dessus de tout soupçon.

Dans le cas présent, il s’agit d’un mouvement d’humeur émis par des associations de gauche voire d’extrême-gauche et de personnes de même tendance et bien peu connues du grand public d’ailleurs et qui s’insurgent contre l’érection de la statue du général Marcel Bigeard à Toul, sa ville natale. Une affaire amorcée par une pétition lancée le 10 mars 2024 et relancée par une manifestation le 25 mai dernier demandant d’interdire la présence de cette statue sur le domaine public.

En effet, la statue ayant été financée exclusivement par des fonds privés, les contestataires n’avaient plus d’argument à critiquer autre que le lieu d’édification. C’est bien léger comme argumentaire.

Mais que reprochent-ils donc au Général Marcel Bigeard ?

D’être un fils du peuple qui a commencé comme soldat de seconde classe et qui a terminé Général de Corps d’Armée ?

D’avoir été prisonnier des Allemands en 1940 et de s’être évadé pour entrer dans la Résistance ? D’avoir effectué 3 séjours en Indochine avant d’être fait prisonnier par le Vietminh après Dien Bien Phu ?

D’avoir fait deux séjours en Algérie où il a été gravement blessé deux fois ? Cela n’a pas empêché Bigeard de reconnaître le courage de ses adversaires qu’ils appartiennent au Vietminh ou au FLN. En particulier lorsqu’il évoquait le commandant Azzedine, en disant « On ne se déshonore pas en rendant hommage à l’adversaire ».

Un parcours militaire aussi exceptionnel au service de la France lui a valu d’être décoré de la plaque de Grand-Croix de la Légion d’Honneur par le Président Coty, le 14 juillet 1956.

Puis comme si cela ne suffisait pas, il a servi sa Patrie en s’engageant en politique. Nommé Secrétaire d’État à la Défense par Valéry Giscard d’Estaing, il a été ensuite deux fois élu député de la 5ème circonscription de Meurthe et Moselle chaque fois contre des adversaires de gauche.

Après son décès, pour lui rendre hommage, la 50ième promotion de l’École Militaire Interarmes (EMIA) a pris comme nom de baptême « Général Bigeard ».

  Que reprochent donc à Marcel Bigeard ces associations plus ou moins confidentielles et ces soi-disant personnalités irréprochables. Une accusation de torture en Algérie que le général Bigeard a toujours nié ?

Si cela avait été le cas, aurait-il été nommé au Gouvernement de Giscard d’Estaing ?

Aurait-il été élu député comme ces deux députés LFI-NUPES qui le critiquent et dont pourtant l’un des leurs est fiché S ? Pour le bien et la grandeur de la France, naturellement ! Pour critiquer de tels états de service, il faut en avoir quelques-uns soi-même pour être crédible. Sous peine d’être ridicule.

Cette contestation n’est donc que politique, simplement pour permettre aux contestataires d’exister et de critiquer les valeurs de la République en général et de l’Armée en particulier.

Ce n’est pas nouveau.

Déjà en 1978, Mr Yvon Bourges, Ministre de la Défense, a obligé le Colonel Érulin alors en pleine opération à Kolwezi, en Afrique australe avec le 2ème REP, de recevoir Alain Ménargues, journaliste à France Inter, pour répondre à la question de tortures qu’il aurait infligées en Algérie 15 années auparavant. Tout ceci sous la pression d’une gauche qui voulait décrédibiliser une opération de sauvetage en vies humaines réussie, mais lancée par un gouvernement de droite. Cette opération « Bonite » aura coûté quand même la vie à 5 légionnaires, mais pour sauver plusieurs centaines d’autres vies. Hélas certains contestataires n’ont que faire de la vérité.

On peut alors leur conseiller d’aller voir la stèle en marbre de 3,65m de haut et pesant 8 tonnes avec le profil sculpté du général Bigeard érigée devant la caserne Laperrine à Carcassonne. Et s’ils ont le courage d’aller frapper au poste de garde du 3ème RPIMa, son ancien régiment, pour faire valoir leur point de vue, nul doute qu’ils y recevront le meilleur accueil !

En conclusion, s’il y a bien un domaine où les Armées en général et Marcel Bigeard en particulier n’ont pas de leçon à recevoir des politiques et autres affidés, c’est bien celui de la morale.  

Colonel Christian Châtillon Délégué National de l'ASAF
L’ancien ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a sauvé l'économie française.
www.lefigaro.fr et www.europe1.fr


L’ancien ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, déclarait ceci en juin dernier, sur BFMTV : " Si aujourd'hui notre niveau de dette est élevé, c'est parce que j'ai sauvé l'économie française ".

Le ministre du Budget, Laurent Saint-Martin a annoncé le 9 octobre que le déficit public français risque de dépasser 6% du PIB en 2024.
Quelques raisons invoquées : " les entreprises en particulier ont suspendu de nombreux investissements et embauches en attendant de savoir quel Premier ministre succéderait à Gabriel Attal après la dissolution de l'Assemblée nationale.
Par ailleurs, les dépenses des collectivités territoriales ont été plus élevées que la trajectoire ne le prévoyait, de l'ordre de 16 milliards d'euros pour 2024".
Meurtre de Philippine : qui sont les responsables ?
Béatrice Brugère, magistrate, invitée de Vincent Roux, dans Points de Vue Le Figaro, répond :


" L'application des peines est à revoir de A à Z.
Nous sommes rentrés dans un système qui consiste à juger un peu, et à sanctionner très mal, c'est-à-dire souvent trop tard, et à contre-sens. "
Viol à la gare de Rennes le 27 juin 2024
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/


Selon un communiqué du Procureur de la République à Rennes, Philippe Astruc, un homme originaire de Mayotte et âgé de 23 ans a été placé en Garde à vue.
D'après les faits précisés par le parquet, "le 27 juin vers 5h20, une jeune femme qui revenait de déposer quelqu’un à la gare remontait dans son véhicule. À ce moment-là, un jeune homme, né en 2001 à Mayotte, rentrait dans son véhicule, la menaçait et la contraignait dans un premier temps à retirer une somme d’argent au distributeur." L'homme va ensuite prendre le véhicule en compagnie de sa victime pour se diriger à l'extérieur de Rennes. Toujours selon le parquet, l'homme va "la contraindre à des relations sexuelles avant de revenir dans le véhicule à Rennes, où il la déposait, avant de partir avec le véhicule de la victime.
L'homme est connu de l'institution judiciaire.
Cartel des fraudes
Charles PRATS


Charles PRATS, ancien magistrat chargé de la lutte contre les fraudes fiscales et sociales, dit ceci, dans son livre : " plusieurs centaines de titulaires de cartes Vitale ont plus de 120 ans, un tiers des 21 millions de personnes nées à l'étranger, sont immatriculées à la Sécu, sur la base de faux documents, enfin l'Etat en 2020 reconnaît qu'il ne connaît pas l'identité de près de 2,5 millions de bénéficiaires de prestations sociales."
Le Parc marin de la Côte Bleue près de Marseille
http://cote-bleue.com/guide/Le-parc-marin-de-la-Cote-Bleue/


Le Parc marin de la Côte Bleue près de Marseille, a été créé en 1983.
La réserve marine qui associe les communes de Sausset-les-Pins, Carry-le-Rouet, le Rove, Martigues et Ensuès-la-Redonne a pour vocation de gérer, protéger et revaloriser les milieux naturels marins et du littoral, participer à une gestion durable des ressources de pêche, faire connaître et éduquer sur le patrimoine marin. Ces zones marines sont protégées.
Il vous est interdit de :
mouiller votre embarcation
plonger en scaphandre autonome
pêcher sous toutes ses formes

Cela permet l'augmentation des espèces marines, la reconstruction de biotopes naturels.
Le Puy du Fou reçoit le prix du Meilleur spectacle au monde à Los Angeles
www.lejdd.fr


La dernière création du Puy du Fou « Le Mime et l’Étoile », a été récompensée samedi. Le parc à thème vendéen a reçu l’un des prix les plus prestigieux, le Thea Award du Meilleur spectacle au monde, rapporte Le Figaro.
L'attaque à la gare de Lyon
Eric Zemmour sur RMC


Eric Zemmour sur RMC

Aux paysagistes et propriétaires de jardins d'aménager, en protégeant et en mettant en valeur la biodiversité,
aux consommateurs d'être consom' acteurs, et d'acheter bio et local, s'ils veulent changer le cours des choses.
Restauration des mangroves au Sénégal
https://livelihoods.eu/


Depuis plusieurs années, l’ONG Sénégalaise l’Océanium, soutenue par l'association Beauval Nature, et financée par les fonds Livelihoods, replante la mangrove au Sénégal. Le projet, auquel prend part la population locale, est colossal. À ce jour, plus de 100 millions de propagules (graines de palétuviers) ont été plantés à la main sur plus de 15 000 hectares. Une véritable prouesse !

L’Océanium, créé en 1984, se développe grâce à la rencontre de deux passionnés : le Professeur Jean-Michel Kornprobst, fondateur et spécialiste en biochimie des organismes marins au Sénégal, et Haïdar El Ali, plongeur émérite. Confrontés à la dégradation des fonds marins, ils imaginent ensemble une multitude d’activités de découverte et de préservation pour les protéger : nettoyage des fonds marins par des plongeurs expérimentés, lutte contre les filets fantômes et la surpêche, sensibilisation à l’environnement … Haïdar El Ali devient le directeur officiel de l’Océanium en 1988 et son champ d’action s’élargit petit à petit. En 2006, l’association s’engage dans la protection et le reboisement des mangroves, une action soutenue par Beauval Nature depuis plusieurs années.

Les mangroves sont les plus riches écosystèmes au monde, et leur disparition augmente la salinité de l’eau jusqu’à ce que plus rien ne puisse pousser. Le projet s’étend sur une zone où les sols étaient devenus inaptes à l’agriculture sans le puissant système de filtration des eaux salines que constituent les mangroves. Désormais, les villageois peuvent peu à peu recommencer à cultiver du riz car les terres regagnent en fertilité. De plus, cette nouvelle forêt de mangroves favorise la reconstitution des ressources halieutiques de la zone. Les arbres replantés favorisent le développement de crevettes, huîtres et mollusques.
Concernant l'enseignement, la réalité c'est pas ça !
François-Xavier Bellamy sur Franceinfo le 19/1/2024


Concernant l'enseignement, et les mesures préconisées par monsieur Macron, François-Xavier Bellamy répond ceci : " la réalité c'est pas ça ! La réalité, c'est qu'en France aujourd'hui, un jeune sur 5 ne sait pas lire le français !
La réalité, c'est que nos élèves sont les derniers d'Europe en math !
Les professeurs attendent un cap clair !
Ils veulent des ministres qui s'intéressent vraiment à leur travail ! Les professeurs, les familles attendent qu'on revienne à l'essentiel ! "

Notre commentaire : pour cela, il faut : définir des programmes plus ambitieux, pas des référentiels, et s'y tenir, des examens plus consistants, et encourager les professeurs à être plus exigeants !

Loi immigration : MIEUX QUE RIEN ? NON, HÉLAS ! PIRE QUE RIEN.
Eric Zemmour


Les lampions sont éteints. La fête est finie. La sarabande des cameras a cessé. Les bouteilles de champagne vides jonchent le sol du Palais Bourbon. De Gérald Darmanin à Marine Le Pen, en passant par Elisabeth Borne, Olivier Marleix et Éric Ciotti, ils ont tous célébré leur victoire.

Mais contre qui ont-ils tous gagné ? Le peuple français.

Que savons-nous de manière certaine et définitive sur cette loi ? Qu’elle ne supprime pas le droit du sol. Elle ne supprime ni le regroupement familial, ni l’immigration familiale. Elle ne supprime pas l’AME, ni les prestations sociales pour les étrangers extra-européens, qui sont les pompes aspirantes de l’immigration. Elle ne permet pas l’expulsion des délinquants, criminels et fichés S double-nationaux. Elle ne concernera aucun Algérien, puisque les ressortissants de ce pays bénéficient toujours des privilèges migratoires de l’accord de 1968. Elle continuera donc de laisser entrer, chaque année, 100 000 étudiants étrangers, 150 000 demandeurs d’asile et 100 000 personnes venues au titre de l’immigration familiale.

Derrière les cris de victoire, dès l’année qui vient, 500.000 nouveaux étrangers pourront donc encore débarquer sur le sol français avec la bénédiction de cette « loi immigration » qui porte si bien son nom : elle confirme que l’immigration est la loi.

Nous savons également que les étrangers continueront de bénéficier de notre générosité, après un petit « délai de carence », que LR et le RN font mine de prendre pour une avancée colossale. Rappelons à ces génies parlementaires que c’est ce qui existe déjà pour le RSA. Merci à eux de m’avoir fait comprendre pourquoi ils avaient troqué la préférence nationale, défendue jadis par le FN, en « priorité nationale » : les Français sont prioritaires, mais les étrangers restent bénéficiaires. Contrairement à eux mais comme la majorité des Français, je ne souhaite plus que les étrangers bénéficient de nôtre générosité : cela s’appelle la préférence nationale.

Cette loi, en vérité, est dans la lignée des vingt-neuf qui l’ont précédée depuis trente ans : une digue de sable pour arrêter une vague gigantesque. Prenons l’exemple censé résumer la fermeté de cette loi : pour faire venir sa famille, un étranger devra désormais avoir résidé 24 mois sur notre sol. Auparavant, c’était 18. Six mois d’écart, qu’est-ce que cela pèse à l’échelle du grand remplacement qui nous menace ?

Les plus candides diront : « c’est mieux que rien ». Hélas, non. Je dis que cette loi est encore pire que rien, car elle n’est pas seulement inutile, elle est également nuisible. Elle permet toujours plus de régularisations de travailleurs clandestins. Il faut écouter Darmanin remercier ironiquement le RN « d’avoir voté pour 10 000 clandestins régularisés de plus ». Mais il faut dire la vérité jusqu’au bout : ces 10 000 régularisés auront ensuite le droit de faire venir leur(s) femmes, leur(s) enfants, leur grand-mère, leurs cousins. La famille, c’est sacré ! Cela s’appelle le regroupement familial.

Par ailleurs, cette loi interdit désormais la rétention des mineurs délinquants : une manière juridique de dire que l’impunité sera désormais totale pour ces fameux « mineurs isolés », qui ne sont, pour la plupart, ni mineurs ni isolés, mais qui pourrissent bel et bien la vie des gens, coûtent une fortune aux départements, et encombrent les tribunaux. Merci pour eux et leurs futures victimes.

Dans ce contexte, quelle indécence de parler de victoire idéologique. Ces mesures signent au contraire une terrible défaite pour les Français. La classe politique ne parvient même pas à retarder ce qu’elle devrait empêcher : notre Grand Remplacement. Elle remet à plus tard la lutte contre l’immigration, elle durcit les mauvaises décisions prises par le passé, elle en invente de nouvelles tout aussi néfastes et, au passage, elle offre un cirque politique grotesque.

La Macronie se déchire sur des mesurettes. La gauche fait semblant de s’offusquer d’un texte qui fait semblant d’être ferme. Chez LR et au RN, on se félicite d’une fantastique victoire, alors qu’on n’a même pas fait de mal à une mouche, et alors, surtout, que ce texte prévoit toujours plus d’immigration. Victoire à la Pyrrhus. Et cerise sur le gâteau : le Conseil constitutionnel attend son heure. On peut compter sur lui pour annuler les petites mesures « qui allaient dans le bon sens ». C’est le Président de la République lui-même qui saisira le juge constitutionnel, pour être bien sûr qu’il ne restera rien d’autre dans ce texte que la régularisation de nouveaux clandestins.

La brume parlementaire va bientôt se dissiper. Cet épisode va passer. Son inanité sera bientôt visible aux yeux de tous. Tous ceux qui ont voté cette loi en seront comptables devant le peuple français. On pourra alors passer aux véritables mesures à adopter. Elles existent et sont simples à mettre en application. J’insiste : simples. C’est le peuple qui doit en décider, par référendum, pas le cirque parlementaire. Je ne veux nullement doucher les espoirs des rares à y avoir cru. Simplement, je crois en l’espérance. Et l’espérance ne se nourrit jamais d’illusions.
Touche pas à la crèche de Noël !


Dans de nombreuses villes de France, comme à Ajaccio, à Salon-de-Provence, à Béziers, à Perpignan, des maires sont exposés à la persécution des tribunaux, parce qu’ils ont osé installer une belle crèche de Noël à l’intérieur ou sur le parvis de leur mairie !

image crèche de Noël

Classement PISA 2023 : le niveau des élèves chute considérablement en mathématiques.
www.linternaute.com


Le test PISA évalue les compétences de 600 000 élèves de 15 ans, dans trois domaines : compréhension de l’écrit, culture mathématique et culture scientifique. La sortie du classement est un véritable coup dur pour la France. Le niveau des élèves s'est nettement dégradé, notamment en mathématiques et en compréhension de l'écrit. La France termine à la 23e place.
Ce qui a changé, c'est vous
Eric Zemmour


Cher compatriote, Chère amie, Cher ami,
Quelque chose a changé. Quelque chose de fondamental, qui détermine notre avenir à tous. Ce quelque chose qui a changé, c’est vous. Quand j’ai commencé à parler d’islam et d’immigration, il y a déjà bien longtemps, je me suis fait beaucoup d’adversaires. Et même beaucoup d’ennemis. Cela m’a donné une image de Cassandre : il fallait en passer par là. En ce temps-là, les Français qui prenaient toute la mesure des problèmes qui nous accablaient étaient une minorité. Comme vous le savez, cela ne m’a pas découragé. Depuis, la donne a changé. Je l’ai senti le lendemain de la mort de Thomas, après l’attaque de Crépol. Au petit matin, j’ai constaté dans la rue comme sur les réseaux sociaux, en observant vos réactions, que vous aviez compris. Malgré le silence pesant qui régnait sur cette affaire dans les médias et au sommet du pouvoir, vous aviez tout compris avant tout le monde, avant les technocrates, avant les journalistes, avant la classe politique. Sans bénéficier de la moindre information concrète, sans avoir besoin de vérifier quoi que ce soit, malgré la presse qui brouillait les pistes, vous saviez. Vous saviez d’où venait le gang qui a tué Thomas. Vous saviez où se situaient les agresseurs, et où se situaient les victimes. Avant tout le monde, vous aviez deviné quels seraient les prénoms des criminels. Quand la liste de ces prénoms a enfin été rendue publique, aucun d’entre vous n’a été surpris. Tous, vous avez dit : « On le savait depuis le début. » C’est la vérité. Vous le saviez depuis le début. Il a fallu une semaine pour que le pouvoir et les médias finissent par admettre, toujours à demi-mot, que vous aviez raison. Cette semaine a été déterminante. Ce que cette semaine nous a appris, c’est que vous êtes un peuple définitivement lucide. Dans le dictionnaire, « lucide » signifie : « Qui voit, comprend et exprime clairement les choses ». C’est exactement ça. Vous êtes lucides sur l’immigration, vous êtes lucides sur l’islam, vous êtes lucides sur la tragédie de Crépol, vous êtes lucides sur les raisons profondes de la mort de Thomas, vous êtes lucides sur ce qu’il faut faire pour qu’une telle horreur ne se reproduise plus. Et cela, ni le pouvoir, ni les médias ne pourront vous le retirer. Ceux qui ne comprenaient rien, ou qui ne voulaient rien comprendre, les naïfs et les hypocrites, c’étaient eux, pas vous. Et maintenant, ils ont honte, et ils ont peur de votre lucidité. Tant mieux. C’est à eux d’avoir peur de vous, et non le contraire. Oui, vous êtes lucides. Admirablement lucides. Maintenant, vos adversaires veulent vous faire croire que votre lucidité est une faute morale, une forme de « haine ». C’est tout le contraire. La vérité est que vous ne voulez aucun mal aux étrangers, ni aux immigrés, ni aux Arabes, ni aux musulmans. Simplement, vous voulez du bien aux Français. Tout le bien possible. Vous voulez la paix, la tranquillité, la sécurité. Et c’est votre droit le plus strict, et c’est même votre devoir en tant que citoyens. Il n’y a là aucun racisme, aucun fascisme, aucune inculture, aucune perversité, aucune faute morale. Vous avez le droit de penser que deux et deux font quatre et qu’on ne résout pas les problèmes en les aggravant. Vous avez le droit d’être un peuple intelligent, mûr, adulte, qui a beaucoup observé, beaucoup appris, beaucoup subi et beaucoup compris. Un peuple qui est prêt à résoudre ses problèmes. Dans nos villes et dans nos villages, il y a des millions et des millions de Français beaucoup plus intelligents que les bureaucrates et les journalistes. Et ce n’est pas un mal. C’est une richesse. C’est une excellente nouvelle. Et nous ne laisserons jamais vos adversaires faire passer cette excellente nouvelle pour une catastrophe. C’est tout le contraire d’une catastrophe. Votre lucidité, c’est votre avenir. C’est votre chance. C’est votre espoir. C’est votre fierté et c’est la nôtre. Le pire qui puisse arriver à un peuple, c’est de s’aveugler, de confondre le vrai et le faux, de ne plus arriver à distinguer la sincérité du mensonge. Un peuple dans l’épreuve, mais intelligent, et qui sait qu’il est intelligent, a le droit d’espérer. Alors vous avez maintenant le droit d’être optimistes. Vous avez le droit de penser que vous allez sortir de l’impasse où se trouve notre pays. Vous avez le droit de penser que rien n’est perdu. Vous avez ce droit, et vous avez le droit de l’exercer. Aucune loi ne peut légitimement vous condamner à ne pas voir ce que vous voyez, à ce pas comprendre ce que vous comprenez. Aucun pouvoir ne peut vous obliger à être bêtes. Ce que vous avez compris, ce que la vie de notre pays vous a appris, vous ne l’oublierez plus. Ni Macron, ni Mélenchon, ni les autres, ne parviendront à vous faire croire que vous êtes stupides, racistes, fascistes, xénophobes, méchants. C’est trop tard. Vous savez où est le problème. Vous savez où est la solution. Vous avez tourné la page. Vous n’accepterez plus qu’on insulte votre intelligence. Je ne viens évidemment pas vous dire que si vous avez compris tout cela, c’est grâce à moi. J’ai participé à cette prise de conscience, mais je n’ai pas été le seul, et je félicite tous ceux qui ont participé à ce combat pour la vérité. Ce combat n’est pas terminé. Il a été plus long et plus difficile que je ne l’imaginais, mais le résultat est là, la vérité gagne, la lucidité gagne. Il ne reste plus qu’à la faire gagner dans les urnes. C’est un nouveau combat, une nouvelle aventure, que nous allons pouvoir mener ensemble. Combien sommes-nous à être lucides ? Au moins deux Français sur trois. Peut-être trois Français sur quatre. C’est gigantesque. Le pouvoir parle sans cesse d’union et de rassemblement. Eh bien, l’union et le rassemblement, c’est notre lucidité sur l’immigration et sur l’islamisation de notre pays. Dans l’histoire de notre peuple, un peuple qui aime tant se disputer, il est très rare que trois Français sur quatre soient d’accord sur l’essentiel. C’est aujourd’hui le cas. C’est très rare et c’est providentiel. C’est une fantastique occasion de vous faire entendre. De peser sur le pouvoir, de vous imposer à lui. De changer le cours de la très sombre histoire où nous enferme Emmanuel Macron et le reste de la classe politique depuis si longtemps. Oui, l’ombre, c’est eux. Et vous êtes l’éclaircie. Bientôt, je m’adresserai à vous dans une vidéo pour vous dire pourquoi je partage votre espérance. Nous avons enfin une excellente raison d’espérer. Saisissons-la. Vous savez que vous pouvez compter sur moi. Je serai toujours aux côtés de votre lucidité et de votre espérance. Vive la France et, surtout, surtout, vive vous.
La part du colibri. L'espèce humaine face à son devenir
Pierre Rabhi


Un jour, dit la légende, il y ' eut un immense incendie de forêt.
Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient, impuissants, le désastre.
Seul le petit colibri s'active, allant chercher quelques gouttes d'eau
dans son bec pour les jeter sur le feu.
Au bout d'un moment, le tatou, agacé par ses agissements, dérisoires,
lui dit : " Colibri! Tu n'es pas fou ? Tu crois que c'est avec ces gouttes d'eau que tu vas éteindre le feu ? "
" Je le sais, répond le colibri, mais je fais ma part. "
Annecy: un drame «évidemment évitable» selon Éric Zemmour
publié le 9 juin 2023 sur Cnews


NON, le ramadan ne fait pas partie du "patrimoine culturel français"
Manuel GOMEZ


Manuel GOMEZ est né à Alger (Bab-el-Oued) le 17 novembre 1941.
Il a été engagé comme journaliste pigiste par Albert Camus dans le quotidien Alger-Républicain,
puis chef de rubrique à La Dépêche d'Algérie.
Il a poursuivi sa carrière en France, après 1962, comme chef de rubrique dans le quotidien L'Aurore,
également comme rédacteur à Paris-Turf et correspondant du quotidien Le Méridional.

Mme la Maire de Paris déclarait récemment :
« Le ramadan est une fête qui fait partie du patrimoine culturel français.
Le célébrer fait partie du partage et ne contrecarre pas la laïcité. »
La réponse de Manuel Gomez,écrivain :
On peut être Maire d’une capitale comme Paris
tout en présentant de larges déficiences culturelles
sur certains sujets. Sa déclaration n'est qu'un monument d'erreurs.
Le manque de curiosité et l'inculture des religions alliées à la bêtise,
à l'à-plat-ventrisme donnent un résultat totalement renversant et insultant !
Et bien NON Madame la lécheuse de babouche:Trois erreurs grossières dans
cette simple petite phrase destinée à satisfaire les représentants des
musulmans de France, qu’elle recevait en grande pompe à l'hôtel de ville.

1)Le ramadan n’est pas une fête. Bien au contraire, il s’agit d'une épreuve pénible
imposée par le Prophète à ses croyants afin de tester leur fidélité : jeûne total,
abstinence sexuelle et étude du Coran durant toute la journée (les manquements
étant très sévèrement punis, jusqu'à la peine de mort). Cela n'a rien d'une fête.
La fête suit dès la fin du ramadan car, justement, c'est une fête qu'il soit enfin terminé,
il s'agit alors de l'Aïd el-Fitr et cette fête peut même durer jusqu'à trois jours.

2)Le ramadan n'a jamais fait, ne fait pas et ne fera jamais partie du "patrimoine culturel français".
Mme Hidalgo imagine-t-elle une seule seconde que l’occupation de la France du Sud,
avec ses pillages, ses razzias, ses paiements de rançons, son exploitation systématique
au bénéfice du califat, son esclavage (sexuel pour les femmes et économique pour les jeunes
hommes qui étaient châtrés afin de pouvoir ni "forniquer" ni se reproduire), etc.,
permettrait un jour d'inscrire cette période néfaste au patrimoine culturel de notre pays ?

3)« Célébrer le ramadan ne contrecarre pas lalaïcité » ?Effectivement, que les fidèles
musulmans pratiquent le ramadan ne contrecarre en rien la laïcité, tout comme les juifs
et les chrétiens qui célèbrent leurs fêtes religieuses. Mais quand la pratique de la
religion musulmane nous oblige à la subir contre notre volonté, cela contrecarre la laïcité.
– Quand on ne veut pas que les femmes soient soignées par des médecins hommes.
– Quand on exige des horaires spéciaux dans les piscines ou salles de sports.
– Quand on exige des menus « halal » dans les cantines des crèches et des écoles.
– Quand on porte le « voile » dans l’unique but de provoquer, justement, les lois laïques.
– Quand on demande que l’on offre des églises pour en faire des mosquées.
– Quand on débaptise des fêtes chrétiennes et que l'on supprime le mot «saint » sur les médias télévisés et que l'on souhaite également le supprimer dans le nom de nos communes, etc.Un jour on ira peut-être à Tropez, à Raphaël ou bien à Étienne ! Tout cela contrecarre la laïcité car il s’agit d'exigences communautaires d'une religion.
Alors, Mme la Maire de Paris, si votre culture n’est pas à la hauteur de vos ambitions politiques,
profitez de la prochaine période du ramadan, non pas pour étudier leCoran mais pour vous instruire
davantage sur les « valeurs de la République » qu’hélas, vous représentez.

Et souvenez-vous que l'Andalousie, où vous êtes née, a subi sept siècles d'occupation
par les Maures au cours desquels des dizaines de milliers de vos anciens compatriotes
ont payé de leur vie pour s'en libérer et d'autres, livrés à l'esclavage,
se sont vu priver à vie de leur liberté.
Manuel Gomez
Discours de Éric Zemmour le dimanche 5 décembre 2021 au Parc des expositions de Villepinte.

Cliquez ci-dessous :
Discours de Éric Zemmour
Source : www.valeursactuelles.com
Eric Zemmour : candidat à la présidence de la république

Pourquoi je suis candidat. Mes chers compatriotes, Depuis des années, un même sentiment vous étreint, vous oppresse, vous hante : un sentiment étrange et pénétrant de dépossession. Vous marchez dans les rues de vos villes et vous ne les reconnaissez pas. Vous regardez vos écrans et on vous parle une langue étrange et pour tout dire étrangère. Vous jetez un œil et une oreille aux affiches publicitaires, aux séries télévisées, aux matchs de football, aux films de cinéma, aux spectacles, aux chansons, et aux livres scolaires de vos enfants ; vous prenez des métros, des trains, vous vous rendez dans des gares, dans des aéroports, vous attendez votre fille ou votre fils à la sortie de l’école, vous accompagnez votre mère aux urgences de l’hôpital, vous faites la queue à la poste ou à l’agence pour l’emploi, vous patientez dans un commissariat ou dans un tribunal, et vous avez l’impression de ne plus être dans le pays que vous connaissez. Vous vous souvenez du pays que vous avez connu dans votre enfance ; vous vous souvenez du pays que vos parents vous ont décrit ; vous vous souvenez du pays que vous retrouvez dans les films ou dans les livres ; le pays de Jeanne d’Arc et de Louis XIV, le pays de Bonaparte et du général de Gaulle ; le pays des chevaliers et des gentes dames ; le pays de Victor Hugo et de Chateaubriand ; le pays de Pascal et de Descartes ; le pays des fables de la Fontaine, des personnages de Molière et des vers de Racine ; le pays de Notre-Dame de Paris et des clochers dans les villages ; le pays de Gavroche et de Cosette ; le pays des barricades et de Versailles ; le pays de Pasteur et de Lavoisier ; le pays de Voltaire et de Rousseau ; de Clémenceau et des poilus de 14 ; de de Gaulle et de Jean Moulin ; le pays de Gabin et de Delon, de Brigitte Bardot et de Belmondo ; de Johnny et d’Aznavour, de Brassens et de Barbara ; des films de Sautet et de Verneuil ; Ce pays à la fois léger et brillant, ce pays à la fois littéraire et scientifique, ce pays tellement intelligent et fantasque ; le pays du Concorde et des centrales nucléaires, qui invente le cinéma et l’automobile ; ce pays que vous cherchez partout avec désespoir, dont vos enfants ont la nostalgie sans même l’avoir connu, ce pays que vous chérissez…et qui est en train de disparaître. Vous n’avez pas déménagé et pourtant vous avez la sensation de ne plus être chez vous. Vous n’avez pas quitté votre pays mais c’est comme si votre pays vous avait quitté. Vous vous sentez étrangers dans votre propre pays. Vous êtes des exilés de l’intérieur. Longtemps vous avez cru être le seul à voir, à entendre, à penser, à craindre. Vous avez eu peur de le dire, vous avez eu honte de vos impressions. Longtemps, vous n’avez pas osé dire ce que vous voyiez, et surtout vous n’avez pas osé voir ce que vous voyiez. Et puis, vous l’avez dit à votre femme, à votre mari, à vos enfants, à votre père, à votre mère, à vos amis, à vos collègues, à vos voisins. Et puis, vous l’avez dit à des inconnus, et vous avez compris que votre sentiment de dépossession était partagé par tous. La France n’était plus la France et tout le monde s’en était aperçu.

Bien sûr, on vous a méprisé. Les puissants, les élites, les bien-pensants, les journalistes, les politiciens, les universitaires, les sociologues, les syndicalistes, les autorités religieuses, vous disaient que tout cela était un leurre, que tout cela était faux, que tout cela était mal. Mais vous avez compris avec le temps que c’étaient eux qui étaient un leurre, que c’étaient eux qui avaient tout faux - que c’étaient eux qui vous faisaient du mal. La disparition de notre civilisation n’est pas la seule question qui nous harcèle. L’immigration n’est pas cause de tous nos problèmes, même si elle les aggrave tous.
Bien sûr, vous avez souvent du mal à finir vos fins de mois. Bien sûr, nous devons réindustrialiser la France. Bien sûr, nous devons rééquilibrer notre balance commerciale, réduire notre dette qui grossit, ramener en France nos entreprises qui ont déménagé, redonner du travail à nos chômeurs. Bien sûr nous devons protéger nos trésors technologiques et cesser de les brader aux étrangers. Bien sûr, nous devons permettre à nos petites entreprises de vivre et de grandir, et d’être transmises de génération en génération. Bien sûr, nous devons préserver notre patrimoine architectural, culturel, et naturel.
Bien sûr, nous devons restaurer notre école républicaine, son excellence et son culte du mérite, et cesser de livrer nos enfants aux expériences égalitaristes des pédagogistes et des Docteur Folamour des théories du genre et de l’islamo-gauchisme.
Bien sûr, nous devons reconquérir notre souveraineté, abandonnée aux technocrates et aux juges européens qui ont dépouillé le peuple français de sa capacité à décider de son sort, au nom des chimères d’une Europe qui ne sera jamais une nation.
Oui, nous devons rendre le pouvoir au peuple ! Le reprendre aux minorités qui ne cessent de tyranniser la majorité, et aux juges qui substituent leur férule juridique au gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple. Depuis des décennies, nos gouvernants, de droite comme de gauche, nous ont conduit sur ce chemin funeste du déclin et de la décadence. Droite ou gauche, ils vous ont menti, vous ont dissimulé la gravité de notre déclassement, ils vous ont caché la réalité de notre remplacement. Vous me connaissez depuis des années. Vous savez ce que je dis, ce que je diagnostique, ce que j’annonce. Je me suis longtemps contenté du rôle de journaliste, d’écrivain, de cassandre, de lanceur d’alerte. Je croyais alors qu’un politicien allait s’emparer du flambeau que je lui transmettais. Je me disais à chacun son métier, à chacun son rôle, à chacun son combat

Je suis revenu de cette illusion.
Comme vous, je n’ai plus confiance.
Comme vous, j’ai décidé de prendre notre destin en main.
J’ai compris qu’aucun politicien n’aurait le courage de sauver le pays du destin tragique qui l’attendait. J’ai compris que tous ces prétendus compétents étaient surtout des impuissants. Que le Président Macron, qui s’était présenté comme un homme neuf, était en vérité la synthèse de ses deux prédécesseurs en pire. Que dans tous les partis, ils se contentaient de réformettes alors que le temps presse.

Il n’est plus temps de réformer la France, mais de la sauver.
J’ai donc décidé de me présenter à l’élection présidentielle.
J’ai donc décidé de solliciter vos suffrages pour devenir votre président de la République. Pour que nos enfants et nos petits-enfants ne connaissent pas la barbarie. Pour que nos filles ne soient pas voilées et que nos fils ne soient pas soumis. Pour que nous puissions leur transmettre la France telle que nous l’avons reçue de nos ancêtres. Pour que nous puissions encore préserver nos modes de vie, nos traditions, notre langue, nos conversations, nos controverses sur l’Histoire ou la mode, notre goût pour la littérature et la gastronomie. Pour que les Français restent des Français fiers de leur passé et confiants dans leur avenir. Pour que les Français se sentent de nouveau chez eux et pour que les derniers arrivés s’assimilent à leur culture, s’approprient leur Histoire. Pour que nous refassions des Français en France et pas des étrangers sur une terre inconnue.

Nous les Français, nous sommes une grande nation, un grand peuple. Notre passé glorieux plaide pour notre avenir. Nos soldats ont conquis l’Europe et le monde. Nos grands écrivains et nos artistes ont suscité l’admiration universelle. Les découvertes de nos scientifiques et les fabrications de nos industriels ont marqué leur époque. Le charme de notre art de vivre fait l’envie et le bonheur de tous ceux qui y goûtent. Nous avons connu d’immenses victoires et nous avons surmonté de cruelles défaites. Depuis mille ans, nous sommes une des puissances qui ont écrit l’histoire du monde. Nous serons dignes de nos ancêtres. Nous ne nous laisserons pas dominer, vassaliser, conquérir, coloniser. Nous ne nous laisserons pas remplacer. Face à nous, se dressera un monstre froid et déterminé qui cherchera à nous salir. Ils vous diront que vous êtes racistes, ils vous diront que vous êtes animés par des passions tristes, alors que c’est la plus belle des passions qui vous anime, la passion de la France ; ils vous diront le pire sur moi. Mais je tiendrai bon. Les quolibets et les crachats ne m’impressionneront pas. Je ne baisserai jamais la tête, car nous avons une mission à accomplir. Le peuple français était intimidé, tétanisé, endoctriné. Culpabilisé. Mais il relève la tête, il fait tomber les masques, il dissipe les miasmes mensongers, il chasse ses mauvais bergers.

Nous allons continuer la France.
Nous allons poursuivre la belle et noble aventure française.
Nous allons transmettre le flambeau aux prochaines générations.
Aidez-moi ! Rejoignez-moi ! Dressez-vous !
Nous les Français, nous avons toujours triomphé de tout.
Vive la République, et surtout...
Vive la France !

Source : http://www.youtube.com
Eoliennes en mer : le grand bluff !

Les 6 500 éoliennes en mer allemandes prévues en 2020 vont rejeter 13 000 tonnes de composés métalliques dans la mer, selon les informations recueillies par l’hebdomadaire allemand Der Spiegel.
" … Avec la poursuite de l’expansion des éoliennes en mer, des milliers de tonnes de composés de métaux toxiques vont être répandus dans la mer du Nord et la mer Baltique dans les années à venir.
La raison est l’utilisation d’ anodes sacrificielles pour éviter la rouille des pylônes en fer des parcs éoliens." Le principe est le suivant : on dispose un autre métal à base d’aluminium, mais aussi de zinc et de magnésium, appelé anode sacrificielle, connecté par un fil conducteur. Ce métal est oxydé en priorité. Le fer est protégé. Lorsque l'anode est consommée, il faut la remplacer.
"Sur une durée de vie de 25 ans, uniquement avec la protection contre la corrosion des fondations d’acier sur lesquelles les éoliennes sont installées, jusqu’à dix tonnes d’aluminium seront libérées dans l’eau de mer pour chaque fondation d’éolienne, selon les information recueillies par le SPIEGEL. Ce calcul a été établi par l’office fédéral de la Construction hydraulique.
L’objectif de développement de 6 500 MW d’éolien offshore d’ici 2020 pourrait signifier une pollution supplémentaire d’environ 13 000 tonnes d’aluminium pour les mers du Nord et Baltique. Il est possible de protéger l’acier de la corrosion marine électriquement, technique connue pour les bateaux, mais technique plus coûteuse. Pour cela, il faut relier le métal à un générateur de courant. Autre moyen : appliquer un revêtement. " …

Source : http://www.spiegel.de
Enquête Ifop : Seulement un tiers des Français ont une bonne image des éoliennes

Source : https://erquyplurienenvironnement.fr
Pour info, ce que ne disent pas les médias !

    Révélations sur le salaire de Philippe Martinez à la CGT


Le chef de file de la CGT, Philippe Martinez, en lice pour un nouveau mandat, a touché au total 55 000 € l'an passé. 6000 € en plus qu'en 2017. Même quand ça va mal, la CGT sait être généreuse avec ses cadres et avec son secrétaire général, Philippe Martinez. Grâce à des montages alambiqués.

C'est peu connu : la CGT gère aussi des "filiales", comme une entreprise privée. La puissante fédération des métallos - dont est issu son secrétaire général, Philippe Martinez - possède ainsi la maternité parisienne des Bluets et trois centres de réadaptation professionnelle (CRP). Ces quatre établissements sont gérés au travers de l'association Ambroize Croizat (AAC), présidée par un proche du chef de file de la CGT, Yves Audvard. 

Les crises financières s'y succèdent et la gestion de la maison mère va souvent à l'encontre de ce que prône la CGT au niveau national. Les établissements étaient au bord du gouffre financier fin 2018. La directrice générale de l'AAC, Jacqueline Garcia, évoquait un risque de redressement judiciaire, voire de liquidation. Un plan social a été mis en œuvre et on a demandé aux salariés de se serrer la ceinture.  Le loyer de l'hôpital finance la CGT

La faillite a été évitée grâce à l'agence régionale de santé (ARS) qui a injecté un million d'euros dans les caisses de l'hôpital fin 2018 et lui aurait concédé une avance de trésorerie de 1 657 000 euros le 1er mars. Cette perfusion d'argent public ne passe pas auprès des équipes de la maternité des Bluets. Selon ces dernières, la mauvaise santé financière de la maternité est la conséquence du coût trop élevé du loyer reversé au propriétaire des murs, la fédération des métallos : plus d'un million d'euros par an. 

La controverse n'est pas nouvelle : le montant élevé du loyer était déjà dénoncé il y a quelques années par l'ARS alors qu'elle soutenait financièrement l'hôpital. Mais la CGT refuse de le revoir à la baisse. Et pour cause, "[ce loyer] contribue au financement de plusieurs postes de permanents de la fédération pour l'activité syndicale", relève l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) dans un rapport au vitriol sur la gestion de la maternité par l'association Ambroize Croizat.  "Un salaire déraisonnable"

Cette situation comptable alarmante n'empêche pas les militants du syndicat détenant des postes clés dans les structures d'AAC de s'octroyer de jolis salaires. également directrice du Centre de réadaptation professionnelle (CRP) Jean-Pierre Timbaud à Montreuil (93), Jacqueline Garcia touchait 6853 € brut par mois en 2018, alors que l'établissement affichait un résultat comptable négatif de près d'un million d'euros en 2017. "Un salaire déraisonnable", s'étrangle un cadre de la maison. à titre de comparaison, le salaire médian d'un directeur d'EHPAD, un poste équivalent, est de 3750 € brut. 

La compagne de Philippe Martinez, Nathalie Gamiochipi, percevait, elle, 6021 € brut mensuels en 2018. Cette rémunération fait grincer des dents en interne. "Quand elle est arrivée, elle disait ne rien connaître aux finances et qu'elle “attendait que ses collaborateurs lui apprennent”, se souvient, amer, un employé de l'établissement. Elle n'a rien à faire, ce sont les cadres qui font tout. La preuve selon lui ? Lors du départ brutal du directeur de l'hôpital des Bluets, elle a assuré la transition avec la nouvelle direction tout en continuant à suivre une formation continue deux jours par semaine : "Si elle avait vraiment été occupée, elle n'aurait pas pu." 

Plus surprenant, si l'on se fie au rapport de l'Igas, la maternité financerait donc indirectement le salaire du secrétaire général de la CGT lui-même, Philippe Martinez, en lice pour un nouveau mandat. Selon la centrale syndicale, il a touché 4230 € brut mensuels sur 13 mois en 2018, soit au total 55 000 € sur l'année, 6000 € de plus que l'année précédente.  Selon cette dernière, la différence entre 2017 et 2018 s'explique "par les primes que l'entreprise Renault verse ou non à ses salariés".

Employé par Renault, Philippe Martinez est payé par la fédération des métallos, qui se ferait rembourser par la confédération nationale. "La CGT a l'habitude de rémunérer ses représentants en calquant la politique salariale de l'entreprise à laquelle ils sont rattachés", explique un observateur.

Chez Renault, un ETAM (employé, technicien et agent de maîtrise) "moyen" - le statut de Philippe Martinez - qui travaille au technocentre toucherait entre 5500 et 6000 euros de primes : 3000 à 3500 euros d'intéressement groupe, 1200 euros d'intéressement local, entre 500 et 1000 euros liés à la performance individuelle et 300 euros venant de la récente prime défiscalisée. Philippe Martinez aurait donc également bénéficié de la prime Macron ! 

Source : https://lentreprise.lexpress.fr/rh-management/remuneration-salaire/les-droles-de-salaires-de-la-cgt_2068134.html
Stop les grèves ! Et bonne année et bonne santé !

Il faut réfléchir, prendre en main notre destin, proposer des solutions, apprendre à communiquer, voir la réalité en face, et ne pas bloquer systématiquement les lieux de travail. Il faut évoluer.
Deux films à voir absolument : Donne -moi des ailes et le réseau SHELBURN (à partir du 22 janvier 2020)

Le premier raconte l'histoire du sauvetage par un scientifique, d'une oie sauvage en voie de disparition, et le second, la mise en place d'un réseau appelé Shelburn, par les alliés et la Résistance Française, en 1943, pour évacuer les aviateurs vers l'Angleterre. Le film se déroule en partie sur la plage Bonaparte, près de Plouha (22).
NON aux blocages des routes, à la dégradation des locaux ou des matériels, à l’occupation des locaux ! (Association Droits du citoyen)

Le droit de grève est un droit constitutionnel (préambule de la Constitution du 27 octobre 1946) reconnu à tout salarié. Tout gréviste a des droits, mais aussi des DEVOIRS. La loi oblige les grévistes A RESPECTER LE TRAVAIL DES NON-GREVISTES.
Dans les céréales aussi, on fait du bio. (Ouest-France 15/11/17)

Gael Avenel, céréalier à Montmerrei, dans l'Orne, pratique le désherbage mécanique. Avec trois tracteurs, une déchaumeuse, une charrue "douze corps", une herse-étrille, une houe rotative, achetés d'occasion, il est bien équipé pour désherber ses 100 hectares. " Mes rendements varient de 30 à 50 quintaux l'hectare. Je vends le blé 400 euros la tonne. " Ses clients : des élevages laitiers et porcins locaux.
Pour encourager et développer l'agriculture biologique, consommez des produits bio, issus d'une pratique qui utilise aucun engrais chimique et aucun pesticide chimique.
Le Round Up (glyphosate) cancérigène probable.
Jean-Marc Thomas, Ouest-France du 23/10/2017.


Peut-on s'en passer ? OUI
"L'interdiction de cette molécule, qui a fait la notoriété et la richesse de Monsanto, pourrait sans nul doute sonner le début d'une véritable transition agricole et alimentaire.
N'en déplaise à certains, les solutions alternatives et innovantes existent bel et bien. Elles vont du désherbage mécanique à une agronomie qui redonne ses lettres de noblesse à la rotation des cultures et où la prairie retrouve sa place face à la monoculture du maïs.
Les agriculteurs de Bretagne ont un slogan : "Plus que vous nourrir ... Vous protéger !"
Déclaration de patrimoine : les tortueuses explications d’Emmanuel Macron
Une tribune extérieure de Xavier Mignot. (www.contrepoints.org)


Dans cette campagne présidentielle où les éclaboussures judiciaires continuent d’occulter les projets, Emmanuel Macron paraît saintement épargné. Même Philippe Poutou, qui vilipendait mardi les supposés forfaits de François Fillon et Marine Le Pen, a complaisamment ménagé le « dynamique » quadra. Ironique cadeau du lumpenprolétaire au banquier d’affaires. Cet article pourrait vous interesser Patrimoine d'Emmanuel Macron : l'IREF demande une enquête La probité de M. Macron n’est pourtant pas indubitable. Sa déclaration de patrimoine a, on le sait, excité de légitimes soupçons que viennent désormais nourrir les explications chaotiques avancées par le candidat lors de L’Émission politique la semaine dernière. Patrimoine d’Emmanuel Macron : les faits Rappelons très brièvement les termes de cette controverse. En 2014, M. Macron a déclaré un patrimoine net de € 200.000, alors qu’il avait perçu plus de 3 millions d’euros en travaillant à la banque Rothschild. Singulière disparition. Sommé de s’expliquer, M. Macron a, dans un premier temps, accablé l’impôt. Victime facile, que chacun aime rouer de coups, et qu’on tient volontiers pour prima causa de toutes les calamités publiques. Mais, passée la commisération qu’inspirent les grands brûlés de la ponction fiscale, cette dérobade a paru un peu courtaude : même en France, un tel niveau de prélèvements obligatoires n’est pas crédible. Macron face à Pujadas Acculé jeudi par David Pujadas, d’après les savants calculs duquel il devait lui en rester au bas mot 1,2 million, M. Macron a changé son fusil d’épaule, pour se livrer aux contorsions les plus extravagantes. Cet article pourrait vous interesser Patrimoine des candidats : des m²… mais si peu d’actions Macron lui répond d’abord qu’il a fait des « travaux » sur sa propriété. Là, on reste sans voix, pétrifié par cette tentative d’enfumage dont l’audace est une injure à l’entendement du téléspectateur. Pujadas – qui est ce soir-là d’une humeur inobséquieuse – ne laisse pas passer l’énormité, rétorquant dare-dare que de tels travaux ont dû faire augmenter la valeur de sa propriété foncière. C’est une évidence : la sortie de cash est nécessairement neutralisée grosso modo par une appréciation corrélative de la valeur du bien. Seule la composition de son patrimoine a pu s’en trouver altérée : moins de liquidités, plus de valeur immobilière ; la valeur nette globale reste, elle, à peu près identique. Pris comme une daurade et voulant s’extirper promptement de ces rets menaçants, le candidat change brutalement de stratégie et se met à invoquer « beaucoup d’endettement », en précisant, larme à l’œil : « moi, mes parents ne m’ont pas financé. » Un numéro si gracieusement interprété qu’on l’eût cru fils de l’Assistance publique ; son père est en fait professeur de neurologie en CHU. D’où une impécuniosité familiale qu’on devine profonde. Mais admettons peut-être l’avarice paternelle, et donc l’emprunt filial : en tout état de cause, le remboursement d’un tel prêt, aussi considérable qu’il puisse être, ne saurait aucunement justifier le million disparu. Car la somme qu’on rembourse à son prêteur, c’est une somme qu’on a jadis reçue de lui… Autrement dit, M. Macron n’a fait que translater le problème : s’il a utilisé son million pour rembourser un prêt, encore faudra-t-il expliquer où est donc passé le capital de ce prêt. On regrette qu’il ait pu, par un si grossier tour de passe-passe, mettre a quia le pauvre David Pujadas. Où est passé l’argent d’Emmanuel Macron ? On est alors conduit à formuler une série d’hypothèses qui permettraient de résoudre cette mystérieuse équation ; chacune d’elles est peu rassurante si M. Macron devait être élu en mai :

1) Il a contracté des prêts usuriers, et le million disparu est parti tout entier dans les intérêts ; funeste augure pour la dette publique de notre pays.

2) Il a fait des investissements désastreux où son million se serait effrité ; non moins funeste augure pour la politique économique qu’il voudra impulser.

3) Il a mangé son million, assouvissant quelque secrète passion pour les grandes tables ou les putes de luxe. Craignons qu’une telle prodigalité n’inspire les budgets de l’État et vienne creuser encore les déficits publics.

4) Il a fortuitement oublié de déclarer son million. Un escamotage à haut risque qu’à ce stade rien ne permet de confirmer et dont on espère qu’il a eu l’intelligence politique, sinon éthique, de ne pas le commettre.

Quelle que soit la conclusion, aucune n’est rassurante… Espérons que le candidat saura apporter enfin des réponses convaincantes à des doutes légitimes.
RTL Emission du matin. Philippe BOUVARD le 4/02/17(il ne cite pas ces chiffres par hasard)

On estime à ce jour à 100 le nombre de femmes de Député employées par leurs maris ! A 30 le nombre de filles et fils dans le même cas ! On ne connait pas (faute d'enquête sérieuse) le nombre de cousins, cousines, neveux, nièces voire petits neveux-nièces salariés dans le même cas ! et cerise sur le gâteau (c'est le cas de le dire) ...le nombre Maires, Président d'intercommunalité, etc..!! Bon peuple, vous ne supposiez quand même pas que ces "Agglos", ces "Grand quelque choses" avaient été mis en place dans votre intérêt ...béotiens va ! Ne parlons même pas des attributions d'emplois fictifs (Caisse des Dépôts etc.…) ou réels, ...mais sans taches précises (dans un Ministère ou au Parlement Européen Strasbourg-Bruxelles...etc) mais le mieux à coup sûr c'est Préfet hors cadre....tout ça avec bien sûr attributions de logements afférents. Entre passe-droits, gains non imposables, frais remboursés, avantages en nature… J'arrête, j'ai des haut le cœur, ... un livre entier n’y suffirait pas ! Mais alors, il me vient une question :

Que faisait le Canard Enchaîné quand Ségolène Royale a plombé les finances de Poitou Charentes de 130 millions d’Euros dans des emprunts toxiques

Que faisait le Canard Enchaîné quand Ayrault, fringant premier ministre faisait illico embaucher sa femme à l’Assemblée Nationale comme chargée de mission. Quelle mission Mystère !

Que faisait le Canard Enchaîné quand Ségolène Royale a été nommée par Hollande, vice-présidente de la Banque Publique d’Investissement (BPI) avant d’être Ministre Difficile de croire qu’elle ait été nommée pour ses compétences, surtout pour les contribuables de Poitou-Charentes !! Si ça, ce n’est pas un emploi fictif !!!

Que faisait le Canard Enchaîné quand Mazarine Pingeot fut nommée administratrice de la Grande bibliothèque

Que faisait le Canard Enchaîné quand Clémentine AUBRY a été nommée administratrice de l’auditorium du musée du Louvre

Que faisait le Canard Enchaîné quand Thomas Le DRIAN a été embauché par la Société nationale immobilière à un poste très élevé pour cet élève moyen d’une école de commerce moyenne

Que faisait le Canard Enchaîné quand Salomé PEILLON a été embauchée au poste de chargée de mission culturelle à l’ambassade de France en Israël

Que faisait le Canard Enchaîné quand Jérémie MARTIN (le fils de Philippe MARTIN) a été embauché par le Conseil Régional de Midi-Pyrénées comme chargé de Mission
Clip de campagne officiel de François Fillon

photo de François Fillon

La Droite Libre appelle à la résistance et donne rendez-vous aux Français dimanche à Paris

Soutiens de la première heure de François Fillon, La Droite Libre et son président, Christian Vanneste, lui apportent son soutien complet dans son appel à la résistance. C’est le seul mot qui convienne. François Fillon n’est pas seul en cause, il s’agit aujourd’hui pour le peuple de France de défendre la démocratie, c’est-à-dire le pouvoir légitime du peuple face à une manipulation sans précédent organisée pour faire élire, à tout prix, le candidat choisi par les manipulateurs, déterminés à prolonger, coûte que coûte, le désastreux et pitoyable quinquennat actuel. On pourra toujours nous objecter une prétendue absence de preuves d’une quelconque manipulation. C’est un sophisme. La simultanéité d’une parution dans un hebdomadaire et le lancement d’une enquête sur des faits qui remonteraient jusqu’à 29 ans en arrière, par un parquet de création récente, confié à un juge proche du pouvoir, et dont les plus éminents juristes dénoncent la redondance avec l’administration fiscale, est la démonstration que le parquet en question avait engagé la procédure avant la parution de l’hebdomadaire, celui-là ayant négocié avec celui-ci la primeur de l’information. En d’autres termes, la procédure n’avait d’intérêt, selon ses initiateurs, que si elle était amplement médiatisée. C’est une forfaiture puisqu’elle méconnaît, dans son essence même, le principe du secret de l’instruction. Inutile de s’appesantir sur les rebondissements savamment orchestrés, comme par exemple un communiqué vide de sens, diffusé par ce même parquet dans le seul but de confirmer une rumeur qu’il a lui-même fournie à un autre hebdomadaire pour parution le dimanche précédent. Information qui n’existait pas puisqu’elle disait simplement que la prétendue affaire ne serait pas immédiatement classée sans suite. Le seul objectif de cette coopération entre un parquet inventé de toutes pièces il y a trois ans, et des médias complaisants est évidemment d’entretenir un débat n’ayant rien à voir avec les vrais sujets d’une campagne présidentielle. Face à cette tentative d’assassinat politique, une seule réponse possible : la mobilisation en faveur de François Fillon. La Droite Libre invite tous les Français préoccupés du redressement de notre pays, à venir nombreux, place du Trocadéro à Paris XVIe dimanche prochain 5 mars à 15 heures. Si possible en s’inscrivant d’ores et déjà sur le site de campagne de François Fillon : http://www.fillon2017.fr/trocadero/

Contacts presse :
Christian Vanneste : 06 08 28 05 33 – vanneste.christian@wanadoo.fr
Tarick Dali : 06 09 17 83 63 - tdali@cegetel.net

Lettre ouverte de M. Debré à M. Macron


Monsieur le Ministre – ou devrais-je plutôt vous appeler « Monsieur le Conseiller de François Hollande », tellement vous avez été proche de lui, étant même l’inspirateur de sa politique économique qui a mis la France parterre. Peu importe ! –, Il n’est interdit à personne de reconnaître ses erreurs. Etes-vous à droite, au centre ou à gauche ? Personne ne le sait. Vous tentez de garder votre secret, même si quelques indices percent et vous placent totalement à gauche de l’échiquier politique, cette gauche libertaire, « bobo » et inconstante. Vos dernières déclarations sont incroyables. La France a donc, à vos yeux, commis un crime contre l’humanité lors de la colonisation. Repentance, condamnation ! Avez-vous pesé vos mots ? Non bien sûr et c’est impardonnable de votre part. Alors que vous voulez représenter la France au plus haut niveau, voici que vous la condamnez. Bravo ! Je vous rappelle qu’un crime contre l’humanité est imprescriptible. Vous demandez donc que notre pays soit jugé par le Cour pénale internationale. Beau début de campagne ! Mais vous n’en êtes pas à votre première bourde.
Vous avez, il y a quelques jours, déclaré qu’il n’y avait pas de culture française, niant Victor Hugo, Céline Druon, pour ne citer que ces écrivains alors qu’il y en a des centaines et des centaines qui ont façonné la culture française. Vous oubliez le Siècle des Lumières. Vous oubliez le rayonnement de la France par sa culture propre et enviée dans le monde entier. Désolant ! Même en France, vous méprisez les femmes et les hommes qui travaillent : « l’alcoolisme et le tabagisme se sont peu à peu installés dans le bassin minier », avez-vous dit à Hénin-Beaumont. Sans oublier que vous avez traité d’ « illettrés » les travailleurs de l’entreprise Gad de Bretagne. Les Français n’accepteront pas d’être méprisés par vos propos irresponsables.
Vous voulez apparaitre comme un télé-évangéliste : « Saint Macron ». Ce serait plutôt « Saint Maclou » tant vos arguments sont au ras des tapis. Vous êtes un illusionniste médiatique sans programme, sans idée ou alors des idées qui varient dangereusement d’un jour à l’autre. Il est temps que les Français s’aperçoivent de la vacuité de votre esprit uniquement tourné vers la propagande, vers les mots dangereux et trop souvent creux. « Je vous aime furieusement », avez-vous dit à une foule qui était venue vous écouter.
Monsieur le Ministre, une chose est certaine : vous n’êtes pas apte à devenir un Président de la République respecté et respectable.

Bernard Debré, Ancien ministre, Député de Paris

*************************

L'affaire Théo !


Les milliers de manifestants, dont aujourd’hui les lycéens et les inévitables antifas, vont-ils regretter leur fraternel soutien au jeune Théo Luhaka ? Floris de Bonneville Journaliste Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma Les milliers de manifestants, dont aujourd’hui les lycéens et les inévitables antifas, vont-ils regretter leur fraternel soutien au jeune Théo Luhaka ? D’abord parce que le « viol » par un policier n’est pas du tout établi, selon les premières conclusions de l’enquête de l’IGPN — et ne le sera que lorsque la justice en aura décidé ainsi —, mais surtout parce que toute sa famille, et lui compris, sont au cœur d’un scandale financier qui vient de sortir du chapeau indépendant de la Justice. Si l’on en croit Le Parisien, il y a de quoi faire frémir l’Élysée dont le locataire, un peu précipitamment, s’est rué au chevet du « violé » sans penser que ce jeune homme à la puissante stature s’était battu avec les policiers qu’il accuse de brutalités et de viol, et qu’il était donc, de ce fait, déjà hors la loi. En effet, selon les informations recueillies par notre confrère auprès du service départemental de la police judiciaire, les Luhaka seraient sous le coup d’une enquête ouverte par le parquet de Bobigny pour « suspicion d’abus de confiance et escroquerie ». Pas très futé, pour un président de la République, d’aller verser une larme auprès d’une victime criminalisée, même si l’enquête qui pointe du doigt Théo et sa famille ne remet pas en cause les présumées violences policières du 2 février. Qu’en est-il exactement ? La famille Luhaka a fondé l’association Aulnay Events dont le but était de lutter contre la violence dans le 93. Un objectif louable qui avait permis à son président, Mickael Luhaka, frère du désormais célèbre Théo, de récolter 678.000 euros de subvention de l’État. Du bel argent qui aurait permis d’embaucher, via le système des contrats aidés, trente jeunes. Le conditionnel est de rigueur depuis la création d’Aulnay Events, car un contrôle de l’inspection du travail, effectué courant 2015, n’a abouti qu’à de mystérieux collaborateurs, introuvables. Sans compter une ardoise de 350.000 euros de cotisations sociales impayées lorsque l’association a mis fin à ses activités (fictives ?), courant 2016. Mais ce n’est pas tout. Les Luhaka forment une famille unie. Selon les policiers du SDPJ 93, ses huit membres ont perçu 170.000 euros de leur association, dont… 52.000 euros sur le compte de « Théo l’innocent ». Qu’avez-vous fait, M. Hollande, en vous rendant à l’hôpital d’Aulnay-sous-Bois ? Nous savons bien que vous n’en êtes pas à une faute politique près, mais en saluant devant les caméras de télévision ce « jeune qui a toujours été connu pour [son] comportement exemplaire dans une famille […] qui veut vivre en paix et dans un rapport de confiance avec la police », n’avez-vous pas été vite en besogne ? À ce stade des informations que Le Parisien vient de révéler, doit-on rire ou pleurer de votre précipitation à mettre un bon coup de com’ à votre actif ? Précisons tout de même que Mickael Luhaka nie en bloc les accusations du SDPJ, affirmant qu’il a vraiment recruté 30 jeunes en CDI, dont les membres de sa famille. Sortir cette nouvelle « affaire Théo » tombe à pic, c’est vrai. Et la justice sera priée de faire son travail le plus rapidement possible afin de rendre à nos rues un semblant de paix. Il est vrai que l’escroquerie de près de 700.000 euros, si elle est prouvée, n’est rien par rapport aux millions de dégâts que les manifestations contre les policiers ont causés jusqu’à présent…

Floris de Bonneville, journaliste, Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma

*************************

Electeurs, ne vous laissez pas influencer par les médias !
La manipulation des élections présidentielles.


Le général de Gaulle a voulu l’élection du président de la République au suffrage universel pour lui donner plus de légitimité mais aussi pour empêcher les manipulations com me c’était le cas sous la IV république. De Gaulle estimait qu’il était plus difficile de manipuler des millions d’électeurs que quelques centaines de députés et sénateurs. Les réseaux et groupes de pression ont réussi à reprendre la main et manipuler ces millions d’électeurs depuis le début des années 70.
Ces manipulations ont commencé lors des élections de 1974 avec l’élimination de Jacques Chaban Delmas grâce à la publication de sa déclaration d’impôts. En 1981 les manipulations ont été multiples. Elles commencent dès 1979 avec la publication par le Canard Enchaîné le 10 octobre d’un article révélant l’affaire des diamants de Bokassa dans le but discréditer le président Valéry Giscard d’Estaing. C’est un argument qui a été largement utilisé pendan t la campagne de 1981. Mais les manipulations ont été multiples. En effet au second tour de 1981, le Parti communiste français a fait voter sur ordre de Moscou pour le candidat de droite, Valéry Giscard d’Estaing tandis qu’à droite, le chef du parti gaul liste, Jacques Chirac a appelé en sous -­- main à voter pour le candidat de gauche, François Mitterrand. En 1988, l’homme à abattre était Raymond Barre et de multiples rumeurs ont circulé, notamment que sa femme, d’origine hongroise, était un agent du KGB. En 1995, c’était Edouard Balladur qu’il fallait éliminer. Des réseaux ont fait voter des électeurs de gauche pour J.Chirac au premier tour afin d’éliminer Balladur qui est arrivé troisième, derrière Chirac.
La manipulation la plus réussie a été celle des é lections présidentielles de 2002, où l’homme à éliminer était cette fois Lionel Jospin du parti socialiste. Deux candidatures ont été notamment suscitées et organisées (en fournissant des hommes et un financement) à savoir celle de Jean -­- Pierre Chevène ment (qui a obtenu 5,32% des suffrages exprimés) et celle de Christiane Taubira (2,31 des SE) qui sera remerciée sous la présidence Hollande. L’objectif de ces deux candidatures était de capter une partie des voix de l’électorat de gauche qui devait se p orter naturellement sur la candidature de Lionel Jospin qui n’a obtenu que 16,17% des SE. Les deux candidatures lui ont coûté 7,63% des SE. Ces suffrages manquants, pouvaient facilement l’aider à dépasser J.Chirac qui a obtenu 19,88% des SE. Le piège a donc bien fonctionné, Jospin n’arrive que troisième derrière J.Chirac, avec un retard de 3,6% de SE. Il est donc éliminé pour le second tour. Chirac qui se retrouve face à J -­- M Le Pen, n’a pas besoin de faire 2 campagne. Il refuse tout débat à la télévisio n et avec l’organisation d’une vaste campagne antifasciste notamment au sein de la jeunesse, il est élu dans un fauteuil avec 82% des suffrages. La question que l’on doit se poser est : « Qui voulait l’élimination de Jospin ? ». Un réseau a organisé u ne déstabilisation du candidat socialiste pour faire réélire Jacques Chirac. L’autre question est pourquoi et au profit de quels intérêts ? Nous venons d’assister en janvier 2017, juste avant la campagne officielle des élections présidentielles, à u ne vaste entreprise de manipulation qui se décompose en trois opérations distinctes que l’on peut appeler la « Valse à trois temps ». 1 -­ Premier temps : é liminer François Fillon le plus dangereux. On s’aperçoit que le candidat à abattre est François Fillon, le candidat désigné par les primaires de droite le 27 novembre 2016 et qui avait jusqu’à présent une forte probabilité de gagner. Une première manipulation a eu lieu dès le premier tour des primaires. Elle a consisté à faire participer des électeurs de gauche pour voter en faveur d’Alain Juppé et ainsi éliminer Sarkozy au premier tour (Fillon n’avait aucun chance de gagner selon les sondages). Ils sont revenus au second tour pour éliminer cette fois F.Fillon mais la manœuvre a échoué . Cette opération avait été préparée par une longue campagne médiatique en faveur de Juppé donné favori dans tous les sondages, et ce bien avant le premier tour des primaires.
Une seconde manipulation devient alors nécessaire. L’objectif est de délégit imer Fillon auprès de ses électeurs potentiels afin qu’ils renoncent à voter pour lui en semant le doute. Il fallait le toucher dans son intégrité. Les informations révélées par le Canard enchaîné du 25 janvier 2017 montrent que l’opération a nécessité l’accès à des informations provenant des services de l’Etat notamment celles concernant les salaires payés par le directeur de la Revue des Deux mondes, Marc de Lacharrière à l’épouse de F.Fillon. Une piste commence à se dessiner, ce serait des membres du sérail de l’ancien ministre Macron, qui seraient à la manœuvre. Thomas Cazenave, (Enarque, ancien directeur de Cabinet de Macron à Bercy et actuel secrétaire adjoint de l’Elysée) aurait remis les informations provenant du ministère du budget au Prési dent. Ce dernier aurait transmis les informations à Gaspard Gantzer, pour qu’ « il en fasse bon usage ». G.Gantzer est de la même « promotion Senghor » de l’ENA, qu’E.Macron. Il 3 aurait rencontré le mardi 9 janvier 2017 Michel Gaillard, directeur du Cana rd Enchainé, et ami de François Hollande pour lui remettre les informations en sa possession.
En tout cas, la justice s’est saisie en un temps record de l’affaire. La procureure du Parquet national financier, Madame Houlette 1 annonce l’ ouvert ure d’ une enquête le jour même (le mercredi 25 janvier) de la parution du Canard Enchainé pour « détournement de fonds publics, abus de biens sociaux et recel » . Les investigations ont été confiées à l'Office central de lutte contre les infractions financière s. Ell e a deux options : soit elle rend ses conclusions rapidement comme l’a demandé Fillon, soit au contraire elle laisse traîner l’enquête le plus longtemps possible pour laisser planer le doute dans l’opinion public. Cette campagne de déstabilisation est particulièrement efficace et F. Fillon a deux solutions : soit il démissionne mais dans ce cas le parti des Républicains va devoir choisir un nouveau candidat (le fameux plan « B ») mais cette opération est risquée car les rivalités sont telles que le p arti peut éclater. Fillon était en effet le seul à assurer l’unité. La solution alternative est de continuer le combat contre vents et marées mais il prend le risque de perdre des élections qui étaient jusqu’à présent « imperdables ». La droite est prise d ans un piège et il n’existe aucune bonne solution. Si Fillon dévisse dans les intentions de vote et tombe en dessous de 20%, la poursuite de la campagne de révélations et de dénigrement suffira pour le disqualifier définitivement. Son discours devient inaudible dans les médias qui ne parlent que des « affaires » et non de son programme. Au cas où F.Fillon persisterait à vouloir rester candidat, et remonterait dans les sondages, le réseau à l’origine de ces manipulations n’aurait plus qu’à appliquer ce qu’il avait fait en 2002, à savoir promouvoir des candidatures concurrentes, capables de lui siphonner suffisamment de voix pour qu’il ne soit pas présent au second tour, comme cela avait été le cas pour Lionel Jospin. Dans cette configura tion, il n’est pas évident que la candidature de F. Bayrou soit souhaitable car il prendrait plus de voix à Macron qu’à Fillon. Des sondages ont certainement été commandés pour déterminer le(s) meilleur(s) candidat(s) capable(s) de déstabiliser Fillon Les vocations ne manqueront pas. C’est le cas par exemple de Michèle Alliot -­- Marie qui se prépare depuis longtemps mais aussi de bien d’autres. 1 Elle a été nommée par Hollande sur recommandation de C.Taubira , garde des sceaux. Elle est assistée par 15 magistrats. 4 F.Fillon a déjà baissé dans les sondages et il suffira de lui faire perdre deux ou trois points pour l’él iminer. 2 -­ Deuxième temps : éliminer Manuel Valls à gauche Une troisième opération vise la gauche. Elle a consisté à éliminer l’ancien premier ministre Manuel Valls lors des primaires de la gauche au profit de Benoît Hamon, un apparatchik socialiste marqué idéologiquement très à gauche et faisant rêver les militants avec le salaire universel. Il est étonnant d’entendre le soir du premier tour des primaires de gauche, la Haute autorité annoncer les résultats à 20H30 en pourcentages qui ne bougeron t pas malgré le dépouillement de centaines de milliers de bulletin. Certains experts expliquent cet étrange phénomène par la forte culture de fraude du parti socialiste. Et de citer comme exemple l’élection à la tête du parti socialiste de Martine Aubry c ontre Ségolène Royal après un trucage des résultats. Ces méthodes dignes des pratiques de l’Union soviétique consistant à fixer les résultats la veille du scrutin, ne sont dénoncées par aucun leader socialiste. Comment se fait -­- il que M.Valls n’ait pas con testé les résultats ? Il semble avoir joué un rôle de figurant dans un scénario écrit à l’avance. Faire élire Hamon, marqué idéologiquement très à gauche, n’est pas neutre. Il est évident qu’il ne risquera pas de prendre voix à Macron, ce qui aurait été différent si Manuel Valls avait été désigné. Il aurait en effet chassé sur les mêmes terres et lui aurait pris une partie de ses électeurs. Il est d’ailleurs fort probable que l’on assiste au ralliement d’une partie des socialistes du clan Valls à la candidature de Macron. Quant à Benoist Hamon, il est conscient qu’il n’a aucune chance aux élections présidentielles mais il vise la conquête du parti socialiste et à sa recomposition. On sait depuis longtemps que les congrès socialistes se gagnent à gau che, c’est ce qui s’est passé aux primaires, qui ont été en réalité le substitut à un congrès socialiste en vue de sa reconstitution. On comprend que toutes ces manipulations à droite et à gauche ont pour seul objectif de dégager la voie à la candidatur e Macron. D’un côté on cherche à affaiblir, voir éliminer le candidat Fillon par une campagne médiatique en montant des affaires. De l’autre côté, à gauche, on dégage l’espace politique pour Macron en éliminant M.Valls au profit de B.Hamon. 5 3 -­ Troi sième temps : Faire élire Emmanuel Macron L’objectif est bien de faire élire Macron . Ce dernier est lancé comme un produit marketing depuis plusieurs mois en insistant sur son aspect « moderniste », « jeune » , « branché », le candidat « Geek » qui co mprend l’évolution du monde et de la technique. Quels sont les ralliements à Macron ? Une rapide analyse des divers ralliements à sa candidature nous donne une idée des forces qui se positionnent derrière le candidat. On trouve la vieille garde des impost eurs politiquement corrects : L.Joffrin, Pierre Bergé, BHL, J. Atta li, A.Minc, B.Kouchner, D.Cohn -­- Bendit. Ils vont recevoir le renfort de socialistes de droite mais aussi des centristes et même des Républicains comme l’ancien directeur de campagne de Bru no Lemaire, Jérôme Grand d’Esnon ou l’ancienne ministre Anne -­- Marie Idrac. E.Macron présente l’avantage de réaliser la synthèse entre le libéralisme économique et le libéralisme culturel. Dans le domaine économique, il est pour la dérégulation, la fin d u salariat, l’ubérisation de la société, la suppression des nations et des frontières et pour une immigration massive bienfait pour l’économie, etc. Dans le domaine culturel, c’est un libertaire dont le fondement idéologique est la doctrine relativiste. Il est pour une société multiculturelle, le libéralisme des mœurs, la fin de la famille traditionnelle, le droit des minorités etc.. Le profil des personnalités qui se rallient à Macron illustre bien l’idéologie véhiculée par le candidat. Les conséquence s politiques Les primaires ont été la première victime de cette manipulation. Les médias nous avaient vantés l’intérêt des primaires comme étant une grande avancée de la démocratie pour la désignation des candidats. Alors pourquoi ont -­- elles été « court -­- c ircuitées » ? Ce sont en effet les candidats hors primaires qui survivent : à savoir Mélanchon, Macron et Le Pen. Tous ceux qui ont participé ont été éliminés (Sarkozy, Juppé, et peut être même celui qui a été élu, F .Fillon. Le phénomène est identique à gauche avec Valls et Hamon). Les primaires apparaissent aux yeux des citoyens comme un subtil jeu de bonneteau pour voler leurs voix et un « piège à cons » pour les élus. La seconde victime est la classe politique qui est une fois de plus déconsidér ée par le déballage des affaires. Ceux qui ont commencé à jouer à lancer des « boules puantes » comme disait le général de Gaulle, ont ouvert la boîte à Pandore des « révélations » sur les candidats, situation qui peut devenir très vite incontrôlable. Les médias ne devront pas alors se plaindre du « populisme » qui monte dans la société française. 6 Les troisièmes victimes sont les grands partis de gouvernement qui structurent la vie politique française, à savoir le parti socialiste et le parti des Républic ains qui ne résisteront pas à l’onde de choc des primaires et à l’échec de leurs candidats aux prochaines présidentielles. Qui manipule et pour quels intérêts ? François Fillon nous donne une piste. IL déclare le 1 er février à son équipe qu’il s’agit d’u n " coup d'État institutionnel" contre sa candidature à la présidentielle, et provient "de la gauche", sans plus de précision Un réseau effectivement sévissait à gauche lors de la manipulation de 2002. Mis en place sous les présidences de F.Mitterrand, il a prospéré sous J.Chirac. C’est la raison pour laquelle il l’a fait réélire à tout prix au détriment du candidat du parti socialiste. Pourquoi ce réseau a -­- t -­- il préféré un radical -­- socialiste à un socialiste ? En 2017, il semble qu’un second réseau s’es t agrégé à celui de 2002 pour faire élire le candidat Macron. Il est certain que ce dernier comme J.Chirac en son temps sera redevable à ces réseaux de son élection. Quel deal a -­- t -­- il passé avec eux ? La question centrale est donc de savoir ce que cherch ent à obtenir ces réseaux en faisant élire leur candidat (Chirac en 2002 et Macron en 2017) au point d’organiser des manipulations sophistiquées. Il y a des enjeux financiers auxquels se sont agrégés des enjeux idéologiques en 2017. Si l’on prend l’ex emple de 2002, J.Chirac une fois élu, a laissé les coudés franches à ce réseau dans les domaines économique et financier. Il semble évident qu’avec Macron qui prévoit de « libéraliser » (en réalité « casser ») de nombreux secteurs de l’économie frança ise, les sources d’enrichissement seront importantes pour ce réseau prédateur qui se partagera les dépouilles de l’économie française. Ce qui reste de la richesse des Français sera aspiré à travers un certain nombre de réformes par les financiers. A c ela s’ajoutent les enjeux idéologiques. Il est important pour eux de défendre la doctrine relativiste au sein de la société française qui est remise en question actuellement dans le monde occidental. Il s’agit de défendre notamment la poursuite de la l égislation en faveur des minorités en lien avec des groupes de pression internationaux. Il est évident que le conservateur catholique Fillon était l’antithèse de leur modèle de société et qu’il fallait l’éliminer à tout prix pour ces deux raisons. C‘est donc non seulement un modèle économique mais aussi un modèle de société qui se cachent derrière cette manipulation.

PB Paris, le 3 février 2017

*************************

Nous ne voulons pas de politique spectacle.


La médiatisation débouche sur des faux débats d'idées, des questions secondaires, des polémiques inutiles. Les vrais sujets ne sont pas abordés.
Les syndicats se situent toujours dans la logique de la lutte des classes, vision totalement dépassée. Leur action principale concerne le blocage régulier du pays sur des revendications qui ne concernent pas la majorité des travailleurs.
Les hommes politiques ne doivent pas renoncer face à la pression de la rue.
Il faut davantage de places dans les prisons. En France, 57 000 places, en Espagne 76 000, au Royaume Uni 96 000. Parfois les condamnations se font en fonction de la disponibilité dans les prisons d'arrêt !

L'intérêt général doit constituer le moteur de l'action.

Il faut sanctionner tous les députés absents dans l'hémicycle au moment des votes,
et supprimer définitivement et rapidement le cumul des mandats.
Nous voulons des hommes politiques compétents et irréprochables.

Dimanche 23 avril 2017 et dimanche 7 mai 2017,
votez François FILLON.

*************************

Mise au point : la culture française et l'islam.


Manuel GOMEZ est né à Alger (Bab-el-Oued) le 17 novembre 1941. Il a été engagé comme journaliste pigiste par Albert Camus dans le quotidien Alger-Républicain, puis chef de rubrique à La Dépêche d'Algérie. Il a poursuivi sa carrière en France, après 1962, comme chef de rubrique dans le quotidien L'Aurore, également comme rédacteur à Paris-Turf et correspondant du quotidien Le Méridional.  Le manque de curiosité et l'inculture des religions alliées à la bêtise, à l'à-plat-ventrisme donnent un résultat totalement renversant et insultant ! 

On peut être Maire d'une capitale comme Paris tout en présentant de larges déficiences culturelles sur certains sujets.  Sa déclaration n'est qu'un monument d'erreurs.

 « Le ramadan est une fête qui fait partie du patrimoine culturel français. Le célébrer fait partie du partage et ne contrecarre pas la laïcité. » Et bien NON Madame la lécheuse de babouche:  
Trois erreurs grossières dans cette simple petite phrase destinée à satisfaire les représentants des musulmans de France, qu’elle recevait en grande pompe à l'hôtel de ville.

1) Le ramadan n'est pas une fête.   Bien au contraire, il s'agit d'une épreuve pénible imposée par le Prophète à ses croyants afin de tester leur fidélité : jeûne total, abstinence sexuelle et étude du Coran durant toute la journée (les manquements étant très sévèrement punis, jusqu'à la peine de mort). Cela n'a rien d'une fête. La fête suit dès la fin du ramadan car, justement, c'est une fête qu'il soit enfin terminé, il s'agit alors de l'Aïd el-Fitr et cette fête peut même durer jusqu'à trois jours.

2) Le ramadan n'a jamais fait, ne fait pas et ne fera jamais partie du "patrimoine culturel français". Mme Hidalgo imagine-t-elle une seule seconde que l'occupation de la France du Sud, avec ses pillages, ses razzias, ses paiements de rançons, son exploitation systématique au bénéfice du califat, son esclavage (sexuel pour les femmes et économique pour les jeunes hommes qui étaient châtrés afin de pouvoir ni "forniquer" ni se reproduire), etc., permettrait un jour d'inscrire cette période néfaste au patrimoine culturel de notre pays ?

3) "Célébrer le ramadan ne contrecarre pas la laïcité
 Effectivement, que les fidèles musulmans pratiquent le ramadan ne contrecarre en rien la laïcité, tout comme les juifs et les chrétiens qui célèbrent leurs fêtes religieuses. Mais quand la pratique de la religion musulmane nous oblige à la subir contre notre volonté, cela contrecarre la laïcité. Quand on ne veut pas que les femmes soient soignées par des médecins hommes.
Quand on exige des horaires spéciaux dans les piscines ou salles de sports.
Quand on exige des menus « halal » dans les cantines des crèches et des écoles.
Quand on porte le « voile » dans l’unique but de provoquer, justement, les lois laïques.
Quand on demande que l'on offre des églises pour en faire des mosquées.
Quand on débaptise des fêtes chrétiennes et que l'on supprime le mot « saint » sur les médias télévisés et  que l'on souhaite également le supprimer dans le nom de nos communes, etc.
Un jour on ira peut-être à Tropez, à Raphael ou bien à Etienne !  
Tout cela contrecarre la laïcité car il s’'agit d'exigences communautaires d'une religion.

Alors, Mme la Maire de Paris, si votre culture n'est pas à la hauteur de vos ambitions politiques, profitez de la prochaine période du ramadan, non pas pour étudier le Coran mais pour vous instruire davantage sur les « valeurs de la République » qu'hélas, vous représentez. Et souvenez-vous que l'Andalousie, où vous êtes née, a subi sept siècles d'occupation par les Maures au cours desquels des dizaines de milliers de vos anciens compatriotes ont payé de leur vie pour s'en libérer et d'autres, livrés à l'esclavage, se sont vu priver à vie de leur liberté.  

Manuel Gomez, écrivain

Concernant le projet d'urbaniser le secteur du Tertre Roger à Langueux :


Nous réitérons notre opposition. La commune est appréciée pour ses vastes espaces, ses maisons dispersées dans la campagne, et la vue sur la mer et sur l'anse d'Yffiniac. La raison invoquée est le comblement des dents creuses !
A cet endroit, la vue est magnifique. Elle doit être préservée. Cela fait partie des atouts de la commune. Il faut considérer un autre lieu.
Le cadre de vie est important.
Le combat de Maryvonne, 83 ans, contre les squatteurs de sa maison à Rennes

A Rennes, une octogénaire se bat pour récupérer sa maison, squattée depuis 18 mois. Problème: la loi de 2007 n'est pas de son côté. En arrivant devant son domicile, au 94 rue de Châtillon à Rennes, Maryvonne Thamin, 83 ans, a retrouvé la serrure cadenassée. Le jardin de sa belle maison en pierre était entouré de barbelés et des tessons de bouteilles plantés sur un muret. Depuis près de 18 mois, la propriété est devenue un squat. Jusqu'à dix personnes y auraient vécu. Ils ne seraient actuellement que deux, arrivés il y a un mois environ. "Il s'agit de travailleurs saisonniers d'une petite vingtaine d'années qui vivent dans une précarité extrême", assure leur avocate, Me Stéphanie Peltier. 
L'octogénaire avait délaissé son pavillon depuis plusieurs années pour vivre avec son compagnon à une trentaine de kilomètres de Rennes. Mais à la mort de ce dernier, ses enfants ont annoncé à Maryvonne qu'ils souhaitaient mettre en vente sa maison. Elle a donc dû regagner son domicile. En vain. 

Problème: les squatteurs ont le droit de leur côté. La loi du 5 mars 2007 prévoit que si le propriétaire n'entreprend pas des démarches dans les 48 heures après le début de l'occupation illégale, les occupants peuvent invoquer la loi sur le domicile. Ce qu'ils ne se sont pas privés de faire, affichant même ironiquement le texte sur la porte. "La loi donne à mes clients la possibilité de se maintenir sur les lieux, explique l'avocate de deux squatteurs. Lorsqu'ils recevront une assignation, ils s'en iront."
Maryvonne Thamin avait pourtant été avertie a deux reprises que son pavillon était squatté. "La police municipale ayant constaté l'occupation des lieux, en a informé au moins par deux fois la propriétaire, par courrier, pour lui demander d'engager la procédure d'expulsion prévue par la loi", a indiqué la préfecture. Le premier date de l'automne 2013, le second de mai 2014. Des missives laissées sans réponse, précise-t-on. "C'est une vieille dame de plus de 80 ans. Elle a répondu mais n'a pas renvoyé les lettres dans le bon service. Elle était perdue avec toutes ces démarches", s'emporte son avocat, Me Philippe Billaud. Et de dénoncer un "abus de faiblesse des autorités contre une vieille dame".  "Nos services ont également échangé par téléphone à deux reprises avec Madame Thamin, pour l'orienter vers une aide juridictionnelle afin qu'elle saisisse le juge, et lui proposer un accompagnement social pour bénéficier d'un relogement assure la mairie dans un communiqué. Ces propositions sont malheureusement demeurées sans suite, y compris après un troisième échange téléphonique avec son fils." 

Marathon judiciaire : le délai légal des 48 heures étant expiré depuis bien longtemps, la propriétaire a dû se lancer à contrecoeur dans un véritable marathon judicaire. Pour récupérer son bien, elle doit désormais se tourner vers le tribunal de grande instance de Rennes. "On va déposer la demande d'assignation dans les heures à venir, assure son avocat Me Billaud. Nous avons mis un peu de temps car nous ne parvenions pas à obtenir les identités des squatteurs." Un huissier devrait alors être mandaté pour constater l'infraction et les occupants assignés en référé.  
"Quand tout fonctionne parfaitement, la procédure prend au minimum deux ou trois mois, explique Me Nathalie Roze, avocate en droit de l'immobiliser. Mais cela peut être beaucoup plus long: le magistrat étudie la situation des deux parties. La propriétaire a-t-elle un autre logement? Peut-elle être hébergée? Dans quelle situation sont les locataires? Différents paramètres entrent en ligne de compte." 

Caroline Politi
Source : www.lexpress.fr

Braquage à la jardinerie Chrysopolis, à Besançon : trois hommes raflent 12000 € au nom " d’Allah " dans une jardinerie.

L’un des quatre horticulteurs associés, propriétaire depuis deux ans de la grande jardinerie Chrysopolis, anciennement Delbard à Besançon, se souviendra longtemps de ce braquage du 11 avril 2015, dont il a été victime. Trois hommes au visage masqué par une cagoule, dont l'un porte un fusil à pompe, ont crié "on va vous buter, on veut du fric pour nos frères musulmans partis au djihad".

Yves ANDRIKIAN
Source : http://www.estrepublicain.fr/

Pourquoi cette information n'est pas diffusée par les médias ?
" Mon rêve français se transforme en cauchemar. "

Lydia Guirous, secrétaire nationale du Parti radical en charge de la lutte contre les discriminations, présidente de l’association Future, au féminin et auteur de l’ouvrage "Allah est grand, la République aussi", évoque la montée de l’islamisme radical en France.
" Quand ma tante d’Algérie vient en vacances à Roubaix, elle dit j’ai pas pris l’avion pour me retrouver à Babel-Oued. Elle est où la France ? "

Notre position : les français d'origine étrangère doivent s'adapter aux mœurs, aux coutumes, et pratiques du pays dans lequel ils vivent. La France est un pays de racine judéo-chrétienne.
La liberté d'expression jusqu'où ?

Michel Wieviorka Directeur d'études à l'école des hautes études en sciences sociales - Ouest France 23/1/15


Les organes de presse peuvent blasphémer, la loi ne l'interdit pas. Ils n'y sont pas pour autant obligés, et on peut en attendre qu'ils se comportent en acteurs soucieux aussi de tolérance. Ce n'est pas limiter la liberté d'expression que de demander à chacun d'en user avec un sens politique et moral de la responsabilité.
Les enfants d’une école de Montargis privés de père Noël à la demande de familles musulmanes !

C'est quoi la prochaine étape......supprimer les fêtes de Pâques, de l'ascension, de la Toussaint....., interdire le maillot de bain sur nos plages, ...

L’école maternelle du Grand-Clos, à Montargis, dans le Loiret, a déprogrammé la visite rituelle du Père Noël dans les classes à la demande des parents musulmans. " Chaque année, des familles musulmanes menacent de boycotter l’école, le jour de la visite du Père Noël ", déclare l’adjoint au maire de Montargis. Cette année, ils ont gagné, la directrice a cédé. La directrice a beau soutenir que la décision est d’ordre économique, force est de constater que c’est toujours pour les fêtes traditionnelles que l’argent manque. D’ailleurs le maire, très remonté, démentira, et affirmera que l’argent pour le père Noël ne manque pas. " La directrice m’a expliqué qu’elle ne voulait pas se faire taper sur les doigts par certaines familles musulmanes ", a dit une maman d’élèves au journal le Parisien. Les enfants français devront apprendre à vivre sans le père Noël ?
Le professeur chinois Kuing Yamang explique l'économie de la vieille Europe.

Cliquez sur le lien ci-dessous :

http://www.youtube.com/watch?v=0Xl-maB_A6A&sns=em

Curieuse équipe de France de coupe Davis

Est-ce vraiment une équipe de France faite de non- payeurs? ou bien est-ce une deuxième équipe suisse , ce pays gagnant sur tous les tableaux !...

Sportifs :
Jean Alesi réside en Suisse
Marion Bartoli réside en Suisse
Julien Benneteau réside en Suisse
Arnaud Boetsch réside en Suisse
Arnaud Clément réside en Suisse
Nicolas Escudé réside en Suisse
Monfils réside en Suisse
Guy Forget réside en Suisse
Richard Gasquet réside en Suisse
Henri Leconte réside en Suisse
Sébastien Loeb réside en Suisse
Paul-Henri Mathieu réside en Suisse
Gaël Christophe Moreau réside en Suisse
Amélie Mauresmo réside en Suisse
Stéphane Peterhansel réside en Suisse
Cédric Pioline réside en Suisse
Alain Prost réside en Suisse
Gilles Simon réside en Suisse
Wilfried Tsonga réside en Suisse
Vincent Rives réside en Irlande
Jean-Philippe Gatien réside aux USA

Donc, il en restera au moins deux pour payer leurs impôts:
TOI ET MOI.
Une oasis de verdure à l'île de Batz :
le jardin Georges Delaselle


En 1897, Georges Delaselle, un assureur parisien, décide de transformer sur l'île, un petit coin de dune en un jardin. Il dirige travaux et plantations, aménage un cordon de dunes artificielles afin de protéger le jardin des vents, et procède à l’excavation d’une cuvette profonde de cinq mètres dont les bords sont travaillés en terrasses.

À sa mort en 1944, à l’âge de 83 ans, la dune aride et primitive à laissé place à une luxuriante oasis peuplée de palmiers et autres plantes exotiques.

Vendu à plusieurs reprises le jardin, victime d’un désintéressement général, sombre peu à peu dans l’oubli et l’abandon.

En 1987, une équipe de bénévoles réunis au sein de l’association " Les Amis du jardin Georges Delaselle " décide de faire renaître ce qui fut, jadis un petit paradis. Pari hardi que le Conservatoire du Littoral s’est engagé à soutenir en devenant propriétaire du site en 1997, cent ans après sa création, protégeant ainsi définitivement ce témoignage remarquable de l’histoire de la pratique botanique et de l’acclimatation des végétaux exotiques.

source : www.jardin-georgesdelaselle.fr


Autres photos


Sivens : la France dans le mur
Olivier Fabre


La mort d'un homme, d'un jeune en particulier est un drame épouvantable.
Cependant certaines réactions surprennent.
La palme de la bêtise revient à l'ex-ministre Cécile Duflot qui s'interrogeait publiquement sur l'air «mais que faisaient donc les gendarmes à cet endroit là à ce moment-là».
Que croit-elle ?
Que ces courageux militaires étaient là par plaisir ? Qu'ils organisaient un pique nique ?
Qu'il fallait laisser les opposants dégrader et piéger la zone au risque que des ouvriers soient grièvement blessés le lundi matin en reprenant leur travail ?
Pourquoi ne s'interroge-t-elle pas sur la présence sur le site depuis des mois d'opposants organisés en milices, agressifs et prêts à jeter de l'acide sur les forces de l'ordre et à attaquer des ouvriers ?
C'est indigne d'une ancienne ministre.
Les agitateurs-récupérateurs professionnels Bové et Mélenchon n'ont pas fait mieux.
Plus généralement, la crise de Sivens montre la situation de blocage dans laquelle se trouve la France : incapable de faire respecter l'état de droit, incapable de poursuivre les dizaines d'agresseurs de gendarmes et de policiers, d'agriculteurs et de commerçants, de saccageurs de villes.
Incapable de tenir un discours fort face aux obscurantistes-extrémistes vertsrouges qui veulent nous mener à la régression.
Aujourd'hui il serait, dans ces conditions, impossible de lancer la construction de la Tour Eiffel, les chantiers du TGV ou du nucléaire et même les principales avancées médicales du début du XXe siècle.
Comparaison respective : France - Allemagne, concernant le train de vie de l'Etat.
Quelques chiffres impressionnants !


En France :
  • Gouvernement : 1 Président de la République, 1 Premier Ministre, 25 Ministres, 9 Secrétaires d'état

  • Coût d’un ministre : 17 millions d'Euros par an

  • Le soir après le boulot, le 1er Ministre se détend dans son logis de fonction(310m2) à Matignon tandis que ses collègues regagnent en limousines les hôtels particuliers que la République met généreusement à leur disposition

  • Personnel : 906 personnes travaillent à la Présidence de la République

  • Parc auto : 121 véhicules

  • Déplacements : Élysée : 1 Airbus A330-200, 2 Falcon 7X, 2 Falcon 900, 2 Falcon 50, et 3 Hélicoptères  Super Puma

  • Indemnité : Président de la République : 21 026 EUR NET

  • Budget: Elysée : 113 000 000 EUR

En Allemagne :
  • Gouvernement : 1 Chancelier(e), 8 ministres

  • Coût d’un ministre : 3 millions d'Euros par an

  • le soir après le boulot : Angela MERCKEL rentre dans son appartement, dont elle paie le loyer, les factures d'eau et d'électricité, comme chacun de ses 8 ministres

  • Personnel : A peu près 300 personnes

  • Parc auto : 37 véhicules

  • Déplacements : systématiquement en train ou sur des lignes aériennes régulières

  • Indemnité : Angela MERKEL : 15 830 EUR Brut (Attention : salaire soumis à l'impôt)

  • Budget : Chancellerie 36 400 000 EUR
Un sérieux recadrage familial !
article écrit par le Général de brigade Pierre Royal dans son bulletin de promotion, en mai 2014.

Général de brigade Pierre Royal

Suite aux nombreuses questions qui me sont posées quotidiennement concernant mes liens de parenté avec Ségolène Royal, je tiens à effectuer la mise au point suivante : Ségolène Royal est ma nièce, fille de mon frère ainé Jacques, qui a terminé sa carrière militaire avec le grade de lieutenant-colonel dans l'artillerie de Marine. Si je ne partage en aucune façon ses options politiques, l'esprit démocratique me contraint à les supporter. Par contre, je ne puis admettre que, pour construire sa carrière politique, elle ait sali de façon outrageante la mémoire de son père.

Lors de la sortie de son livre « Le printemps des Grands-parents », titre très cocasse quand on saura qu'elle a été particulièrement odieuse avec mes parents (ses grands-parents), elle a accordé un certain nombre d'interviews d'où il ressortait qu'elle avait eu une enfance très dure du fait de son père, militaire rigide et borné qui la brimait.

Par contre, au moment de la guerre du Golfe, dans une interview du journal « La nouvelle République du Centre », elle disait son soutien aux soldats français, évoquant avec émotion le souvenir du départ de son père pour l'Algérie et sa mort au combat (en réalité, mon frère est mort d'un cancer en 1981) ! (...)

En conséquence, je n'ai plus aucune relation avec cette jeune femme, résolument mythomane et j'ai honte de voir le nom de ma famille ainsi galvaudé par une personne qui est en train de mettre à sac sa région sur le compte de ses administrés....et ce sans payer l'ISF malgré son patrimoine bien garni.

Et Louis Mexandeau, ancien ministre socialiste, ainsi que nombreux de ses anciens collègues disent d'elle....: «Ségolène Royal, c'est une inculture de taille encyclopédique, une sorte de trou noir de la science, une ignorance crasse, qui avoue même aujourd'hui en petit comité, qu'elle est bien heureuse de ne pas a avoir à gérer la crise actuelle; mais surtout satisfaite d'engranger ce que le P.S. lui verse à titre d'indemnités personnelles pour l'ensemble de ses déplacements, et pas au nom de l'internationale socialiste dans le monde ».

Fermez le ban !!!
Et quand on pense que près d'un français sur deux était prêt à voter pour elle, ça fait froid dans le chabichou !
Elections municipales 2014 à Langueux.
Questions posées à Madame Jousseaume le 23/2/2014 sur son site Internet :

Avez vous l'intention de réduire les dépenses publiques parfois gaspillées ?
Avez vous l'intention de diminuer les impôts très élevés ?
L'endettement est très important : qui est responsable ?
Avez vous l'intention d'abandonner le projet d'urbanisation du secteur du Tertre Roger, zone humide, qui offre une magnifique vue sur la mer ?
Avez vous l'intention d'abandonner définitivement le projet de mise en place d'une voie de chemin de fer sur le site de Boutdeville, lieu de promenade et de détente, en bordure de la réserve naturelle ?
Urbanisation à Langueux en zone humide !
  • Urbanisation du secteur du "Tertre Roger" classé au Plan Local d’Urbanisme en zone AUCs "Zone d’urbanisation future stricte, de faible densité" en secteur AUCr (zone d’urbanisation future réglementée) dite "zone récente d’urbanisation future".

    Le principe de l'amenagement propose :
    • une valorisation du foncier et une optimisation de la densite, fixee a 25 logements/hectare,
    • une mixite sociale et typologique, avec de l'habitat individuel, semi collectif, en maisons partagees,
    • une limitation de l'impermeabilisation des sols par des techniques et des surfaces limitees,
    • la favorisation des formes urbaines les plus economes en energie,
    • l'optimisation de l'orientation des constructions,
    • la limitation de la place de la voiture, afin de restreindre son usage dans les déplacements quotidiens.

  • Notre position concernant le secteur du "Tertre Roger" : nous sommes opposés à la réalisation du projet. La vue sur la mer, qui fait partie des atouts de la commune, une fois de plus est compromise ! Le cadre de vie, agréable, proche de la nature, est menacé. En outre, il s'agit d'une zone humide !

urbanisation â Langueux



urbanisation â Langueux


  • Autre secteur : ouverture à l’urbanisation pour l’extension de la Zone d’Activités de La Perrière.

    Le GAEC de la Baie a mis en vente ses serres situées à proximité de la voirie interne de la Zone d’Activités de La Perrière, sur un espace de 6 000 m² environ, et un acquéreur souhaite y installer son unité de production de menuiseries industrielles, comprenant un bâtiment de 2 000 à 2 500 m², et générateur d’emplois.

    Un compromis a été signé en juillet dernier avec le propriétaire.
    En marge de ce terrain, un autre acquéreur artisan souhaite réaliser le siège de son entreprise, et construire un lieu de stockage sur une surface de 5 000 m² environ.
    Ces terrains sont situés en zone stricte au PLU (AUYs, zone d’urbanisation stricte à vocation d’activités) et nécessitent une ouverture à l’urbanisation, avec la mise en oeuvre d’une procédure de financement contractualisée de type « Projet Urbain Partenarial » (PUP), pour permettre la réalisation des travaux de viabilité, à partir de la voie existante à ce jour, et desservie par les réseaux nécessaires aux activités nouvelles.

  • source : Conseil Municipal 10 décembre 2013
    Les impôts locaux sont trop élevés à Langueux.
    Jugez plutôt !
    Il faut réduire les dépenses.

    TH : Taxe d'Habitation
    FB : Foncier Bâti
    FNB : Foncier Non Bâti


    impôts locaux â Langueux

    source : www.impots-economie.com
    Lettre d'une assistante sociale adressée à TF1  
       1 Quai du Point du jour 
      92100 Boulogne Billancourt,
    A l'attention du Responsable du Journal télévisé


    Monsieur, Aux actualités du 20 heures, vous nous avez, à nouveau, sensibilisé au problème des sans-papiers:
    c'est un leitmotiv récurant chez les journalistes.
    Si je comprends bien l'angoisse de ces gens de vivre dans l'insécurité du lendemain, (car moi je les fréquente2 jours par semaine) je peux vous dire que votrereportage m'a fait bondir car vous occultez systématiquement une bonne partie du problème :
    - 1. Ils sont venus ici en connaissance de cause et en sachant qu'ils violaient les lois françaises sur l'immigration et savaient très bien qu'ils devaient préalablement demander un visa
     - 2. Ils travaillent illégalement « au noir » (car il faut bien qu'ils se nourrissent), en toute connaissance de cause, mais se servent ensuite de cet alibi pour réclamer, devant vos caméras compatissantes, la régularisation de leur situation.
    Ils étalent ainsi leurs violations des lois françaises pour revendiquer leur régularisation : c'est un comble .... Faisant ainsi l'apologie de la violation de nos lois !!!
     - 3. Pourquoi n'avoir pas dit aux téléspectateurs que ces gens n'étaient pas aussi malheureux que vous voulez bien le faire croire :  
            *Ils ont accès aux soins gratuits par lAME (Aide Médicalisée d'Etat),
    *Ils ont droit à la CMU dans l'attente de leur régularisation et à la carte vitale que certains considèrent comme une véritable reconnaissance de leurs droits.
    *Leurs enfants sont accueillis immédiatement et gratuitement dans nos écoles.
    *Ils obtiennent des logements par des contacts déjà en place.
    *Certains d'entre eux, régularisés, m'ont même dit que, maintenant qu'ils étaient en règle, ils avaient beaucoup plus de mal à trouver un emploi qu'avant !!!
    *Je me permets de vous informer aussi que, pour beaucoup d'entre eux, la régularisation est un moyen d'avoir accès à beaucoup d'autres avantages sociaux et qu'une fois régularisés, ils me font faire, par exemple, des dossiers MDPH pour faire reconnaitre une invalidité (pour eux ou leur femme) afin de toucher lAAH Allocation adulte handicapé. Sans avoir à travailler!
     - 4. Quant aux demandes de nationalité française que je fais,elles concernent surtout des 50 ans et plus qui veulent pouvoir faire librement la navette entre leur pays d'origine comme la Roumanie et les pays de l'Est, le Maghreb etc etc..... et la France pour pouvoir se faire soigner chez nous :
    quelle motivation et quel amour de la France !!!

    A titre d'exemple, je vous citerai l'histoire d'une jeune femme qui a fait venir sa mère de 80 ans, en France pour 3 mois en vacances touristiques :
    la mère n'est jamais repartie, est devenue « sans papier» et s'est faite opérer au titre de L' AME gratuitement d'une prothèse de la hanche ;
    puis elle s'est maintenue sous prétexte de soins consécutifs et a obtenu la régularisation de ses papiers.
    Elle sera ainsi soignée gratuitement jusqu'à la fin de ses jours alors qu'elle n'a jamais séjourné en France et n'a jamais cotisé !!!!  Personnellement, je vois ces cas à longueur d'année ; je ne suis pas assise derrière un beau bureau, grassement payée, pour diffuser des messages humanitaires !
    Mais je peux vous dire qu'au rythme des entrées illégales actuelles, notre système social ne survivra pas longtemps.
    Vous feriez bien d'y réfléchir et d'en informer les Français : ça, ce serait de l'Information !!!
    Continuez également, pendant que vous y êtes, à jouer les outragés quand on renvoie 3 Afghans en situation irrégulière chez eux pendant que nos soldats combattent en Afghanistan pour leur liberté, croyez-moi vous allez encore faire bouillir beaucoup de téléspectateurs !!!


    Sincères salutations.  

    PS : il faut savoir qu'un sans papier touche de l'état plusieurs centaines d'euros mensuels. Certains retraités qui ont travaillé toute leur vie n'en touchent pas autant....

    Patrimoine : les combines de Hollande et sa clique pour mentir aux Français

    Sous le fallacieux prétexte de rendre plus morale la vie politique française on va demander aux ministres et parlementaires de justifier de leur patrimoine au début puis à la fin de leur vie politique. Ce qui est déjà appliqué mais sans aucun contrôle. Il est donc possible d’estimer soi-même la valeur de son patrimoine, par exemple à la date de l’acquisition d’un bien et non pas à sa valeur le jour de la déclaration ? Ainsi l’angélique Cécile Duflot déclare son appartement au prix qu’elle l’a payé quelques années plus tôt et non pas à sa valeur en 2013, et bien d’autres ministres et parlementaires agissent d’une manière identique. Il n’est pas non plus obligatoire de tout déclarer, n’est-ce pas le cas de l’ex ministre du budget Jérôme Cahuzac ? Mais pourquoi ne pas parler de celui présenté, lors de son élection en 2012, par  notre actuel président de la république ? François Hollande avait déclaré un patrimoine de 1.170.000 Euros (juste sous le seuil de l’ISF fixé alors à 1.300.000 E). Cette déclaration était-elle exacte ?

    Certes non et cela de l’avis même de plusieurs médias et de l’estimation calculée par la Chambre des Notaires. Ainsi sa propriété à Mougins, La Sapinière, 130 m2 au cœur du Domaine de Saint-Basile, acquise pour 122.000 E en 1986, évaluée par Mme Royal 270.000 E en 2007 (ce qui avait beaucoup fait rire) et déclarée 800.000 E. par François Hollande en 2012 alors qu’elle est estimée 1.380.000 E. + des parts dans deux appartements à Cannes, situés rue Montrose, l’un de 80 m2 déclaré 230.000 E, l’autre de 54 m2 déclaré 140.000 E  soit un total de 1.170.000 E. Estimation au prix du marché 2012 : 1.380.000 + 392.000 + 264.000 soit 2.016.600 E Une sacrée différence et une imposition à l’ISF obligatoire.

    Mais ce n’est apparemment pas tout. Il possèderait une SCI ‘’La Sapinière’’ d’un capital de 914.694 E, toujours en activité en 2013, gérant la location de différents biens rapportant un chiffre d’affaire de 218.000 €. également un appartement à Londres, 6 Thomas More Street, estimé à 2.622.000 E. Je ne fais pas ici le procès de François hollande car finalement tout cela importe peu.

    Que certains de nos ministres ou parlementaires soient riches pourquoi pas après tout ! L’important c’est qu’ils ne s’enrichissent pas trop au cours de leur « carrière » politique. Seule une commission de contrôle dotée des moyens nécessaires et de mesures coercitives puissantes pourrait surveiller ces deux plaies de notre système actuel : - Enrichissement personnel.
    - Conflit d’intérêt.
    Car forcément en dehors des fonctionnaires et des retraités presque toutes les autres professions peuvent entrer dans le cadre de la seconde plaie : le conflit d’intérêt. S’il est indispensable d’éviter que tous nos parlementaires ne soient un jour que des fonctionnaires il est nécessaire également que ceux-ci démissionnent dès leur entrée en politique. Il est évident que le premier objectif à atteindre est de lutter contre les paradis fiscaux et si à l’intérieur de l’Union Européenne cela se précise, lentement mais sûrement, il en sera tout autrement avec ceux d’outre-mer. *Comme c’est le cas aux états-Unis, L’Europe doit imposer la déclaration automatique de toutes les ouvertures de comptes sous peine de sanctions financières massives et de retrait des licences bancaires. Mais surtout donner à l’administration fiscale tous les moyens pour rechercher les fraudeurs et cela en toute indépendance, tout comme la justice et sans aucune intervention de l’état. *Mais comme cela se fait aussi aux états-Unis, La déclaration sous serment ou la sanction pénale du parjure et du mensonge est-elle indispensable en France ? à mon avis elle n’est même pas envisageable car nous n’aurions plus d’hommes politiques. Pour terminer je rectifierai une affirmation des élus socialistes : l’UMP n’a pas demandé une amnistie des fraudeurs fiscaux… mais une amnistie pour les fraudeurs fiscaux qui « rapatrieraient » immédiatement leurs milliards en France. C’est tout de même différent. L’on sait qu’après le choc Cahuzac bien « secrets » s’étaleront dans les médias. Des noms sont déjà « murmurés », des listes existent et peuvent être immédiatement exploitées, si la loi française l’autorise mais si elle ne l’autorise pas il faut changer la loi. La guerre contre la fraude fiscale est, paraît-il engagée, alors gagnons-là et intéressons-nous très vite à d’autres économies à gagner encore plus rapidement : *Les retraites.
    *Le cumul des mandats.
    *La réforme du « Mille-feuilles » des régions.
    *La diminution de l’équipe ministérielle, des députés et des sénateurs.
    En espérant les hypothétiques « compétitivité », « croissance » et « réduction du chômage ».

    Voilà vers quoi doivent se diriger nos parlementaires de quelques bords qu’ils soient, au lieu de se jeter à la face ce qu’auraient dû faire les « précédents » et ce que ne font pas les « actuels » puis passer très vite à ce qui nous importe à nous le plus : le sauvetage de la France… le nôtre !

    source : publié le 11 avril 2013 par Manuel Gomez - http://ripostelaique.com
    Le nouveau président du Medef lance un cri d'alarme au lendemain de l'interview du chef de l'Etat.

    Le nouveau président du Medef, Pierre Gattaz, a lancé, lundi à Marseille, un "cri d'alarme" au lendemain de l'interview télévisée de François Hollande, qui lui "a fait un peu peur" en promettant une reprise et en n'excluant pas de nouvelles hausses d'impôts.

    "J'ai entendu le président de la République. Il m'a fait un peu peur, d'une part en annonçant une sortie de crise que je ne vois pas personnellement. Nous voyons toujours des entrepreneurs très angoissés avec des carnets de commande très faibles", a déclaré M. Gattaz, lors d'un point presse.

    "J'ai aussi compris qu'il risquait d'y avoir des augmentations d'impôts, ce qui nous fait extrêmement peur. Nous avons déjà des taxes et des charges extrêmement élevées, ce qui fait que nos entreprises n'ont plus les moyens d'investir, d'innover, d'embaucher", a poursuivi le patron des patrons, estimant que toute nouvelle hausse "risque de les couler, d'où ce cri d'alarme".

    Pierre Gattaz a appelé au contraire à faire de la France "un paradis fiscal". "Réduire le coût du travail et les prélèvements obligatoires" est, selon lui, "une urgence absolue, car nous continuons de détruire 1.000 emplois par jour, 15.000 entreprises ont déposé le bilan depuis le début de l'année, nous sommes en récession et il ne faut pas minimiser la crise".

    Pour son premier déplacement en province, le responsable du Medef avait choisi de se rendre dans les locaux de la société Onet, entreprise familiale de services (propreté, assistance aéroportuaire, nucléaire, sécurité...), créée en 1860 et qui emploie aujourd'hui plus de 57.500 personnes pour un chiffre d'affaires de 1,4 milliard d'euros.

    source : Le Nouvel Observateur-15 juil. 2013
    Concernant la pollution liée à la fabrication des panneaux solaires :

    Je vais expliquer comme on fabrique les panneaux solaires, les lampes à DEL, les processeurs,.... je vais parler du monde du silicium. La base de ces panneaux solaire est donc le cristal silicium pur, pour obtenir ce silicium on met du sable (SiO2) dans un creusé et on le fait fondre à 1400°C. Une fois le silicium  fondu et les molécules d'oxygène évacué, on plonge un germe de cristal de silicium dans le creusé que l'on tire tout doucement (1mm/15min) afin d'obtenir un cristal du silicium. Il faut environs 24 heures pour obtenir un lingot de silicium et pendant ce temps le creusé doit resté à 1400°C. S’en suit une purification du lingot, on recuit le lingot 5 à 6 fois à 1000°C pendant à chaque fois 24 heures cela fait beaucoup beaucoup d'énergie et donc beaucoup beaucoup de CO2. Une fois le lingot pur obtenu, il faut le découper et le polir (là on utilise beaucoup d'eau il ne faut pas que le silicium chauffe). S’en suit alors la réalisation du système, là il s’agit d'une répétition de dépôt de résine toxique, cuisson, attaque chimique (acide fluoridrique), dépôt chimique (silane SiH4 et Tétrafluorosilane SiF4 qui produit des gaz fluoré très toxique avec une duré de vie de 150ans) généralement l'opération est répété 40 fois environ. Après les systèmes obtenu il faut les découpés, mettre dans des boitiers,... Bien sur, je ne parle pas du transport car la plupart des systèmes sont fabriqué en Asie, il y a aussi des à côté comme les salles blanches,.... les ordinateur qui tourne 24 heures sur 24 7jours /7. Il faut 1 lingot pour fait 4 panneaux de 1 m²
    Je ne sais pas si tu te rends compte mais un lingot permet de faire 4 panneaux solaires de 1m² qui produisent 4x130w et qui ont une durée de vie de 20ans. si tu n'utilises que les chutes de lingots, il faut 6 lingots pour faire 1 panneaux qui produira 130w avec une durée de vie de 20ans (pour faire un panneaux en poly silicium donc avec les chutes des lingots, il faut encore faire fondre les chutes 1400°C pendant quelques heures). Imagine maintenant l'énergie qu'il faut pour faire 4 panneaux solaire (9x24heures à 1200°C), l'énergie qu'il faut est beaucoup plus importante que ce que 4 panneaux de 130w pendant 20ans peuvent produire (et là je parle que de l'énergie). En gros un panneau solaire de 130w ne rembourse pas l'énergie qu'il a eu besoin pour être fabriqué
    c'est bien le problème des média qui ne parlent que des bonnes choses de ces panneaux et qui arrive à faire croire à des personnes comme toi que c'est écologique.

    source : http://forums.france2.fr/france2/jtfrance2/Le20heures/panneaux-solaire-sujet_25193_1.htm
    Concernant le " Mur des cons " du Syndicat de la Magistrature :

    Le père d Anne-Lorraine indigné de figurer sur le "Mur des cons"
    Message du général PH. Schmitt :

    Parent de victime, c’est avec stupeur et un profond dégoût que j’ai constaté la présence de ma photo sur le « mur des cons » du Syndicat de la Magistrature, proche du pouvoir.
    Même si j’ai – et je ne le regrette pas – critiqué les libérations irresponsables de violeurs récidivistes, le laxisme de certains juges d’application des peines, j’estime totalement indécent d’être traité ainsi par ces “ magistrats”, eu égard à notre histoire familiale.
    Mon seul tort, je l’avoue, est de ne pas me résigner à ce que d’autres enfants subissent le martyre d’Anne – Lorraine !
    A travers cet acte, c’est la mémoire de notre fille qu’on insulte, ce sont aussi toutes les familles de victimes qui peuvent ainsi constater le mépris et la haine que ce syndicat de magistrats éprouve à leur égard. Sur ce mur, il n’y a pas de photos de criminels, de violeurs ou de pervers mais il y a les photos de plusieurs pères de victimes. Quelle attitude indigne !
    Dès ce soir, j’ai chargé notre avocat, maître DRYE du barreau de Senlis, d’étudier les suites judiciaires à donner à cette lamentable affaire. Quand on sait que les membres de ce syndicat « peuplent » le cabinet du Garde des Sceaux, il y a de quoi s’inquiéter !

    Philippe SCHMITT
    Père d’Anne – Lorraine
    Assassinée le 25 novembre 2007 par un récidiviste
    Vous pouvez diffuser sans vergogne
    Le monde de l'entreprise est excédé par l'inertie du gouvernement

    Le monde de l'entreprise excédé par l'inertie du gouvernement face à la tempête économique qui s'annonce Pas d'investisseurs privés donc pas d'emplois et donc pas de croissance. Alors que l'on tourne en rond, les grands acteurs du monde des affaires se mobilisent pour essayer de sauver les meubles et affronter la tempête qui s'annonce. On s’aperçoit qu’aujourd’hui rien n’est plus faux. Un patronat moderne dans la mondialisation a besoin d’une industrie à haute valeur ajoutée. Ce qui fait la force de l’Allemagne c’est son industrie. La Grande Bretagne elle-même, assoie son redressement sur le redressement de son potentiel industriel. Apparemment l’UIMM aurait un homme à présenter. Fréderic Saint-Geours qui était le directeur des marques de PSA, devrait quitter ses fonctions à la direction générale de PSA pour devenir un simple chargé de mission auprès du président. C’est le signe qui ne trompe personne. Fréderic Saint-Geours, sera donc candidat. La question est de savoir si le patronat français a besoin d’un homme comme lui. Alors qu’il n’est pas encore candidat, beaucoup lui reprochent déjà son passé de grand commis de l’état (ENA). La Confédération générale des petites et moyennes entreprises que préside Jean-François Roubaud, ou le très actif CJD, le Centre des jeunes dirigeants qu’anime Christophe Praud  sans parler de Croissance Plus ou même  des "pigeons", on souhaiterait une solution un peu plus agressive.  "Ce dont on a besoin, c’est d’un combattant de l’entreprise, pour restaurer la confiance dans  la PME, la prise de  risque. Un  'Seillière',  mais qui ne serait ni baron, ni héritier, ni aussi riche et un peu plus jeune …" Pas facile, la quadrature du cercle. Sauf que la situation économique mérite bien un débat sur la place de l’entreprise dans la société.   Sur le front des affaires, les grands patrons sont de plus en plus gênés par le double langage. "On ne peut pas indéfiniment dire à l’international que la France est un bon élève, qu’elle va faire des reformes de fond et ne pas les faire. Il va arriver un moment où les marchés vont craquer. Les marchés savent que le taux de chômage crée une situation sociale extrêmement tendue. Les marchés savent que la réforme portant amélioration de la compétitivité des entreprises passe par une usine à gaz, le crédit d’impôt, qui ne produira pas d’effet dans l’immédiat." Les marchés, les économistes et les chefs d’entreprise ne comprennent absolument pas pourquoi François Hollande continue d’expliquer que "dès qu’il y aura de la croissance, les déficits publics et les déficits sociaux  commenceront à se résorber". C’est forcement vrai, les déficits se creusent aussi parce qu’il n y a pas de recettes, mais cette idée qu’il va falloir attendre que la croissance nous tombe du ciel est absurde. On pourrait certes profiter de la croissance des autres (l’Allemagne en profite bien), mais pour en profiter il faut se mettre en position. Il faut créer un écosystème qui permette d’attirer les investisseurs privés. Or les investisseurs privés boudent la France pour toutes les raisons qu’on connait. Donc pas d’emplois. Donc pas de croissance. La boucle est bouclée et on tourne en rond. La croissance ne tombe pas du ciel et n’arrive pas par hasard. Il faut la fabriquer.

    source : http://www.atlantico.fr/ Jean-Marc Sylvestre
    Nous sommes opposés au mariage des homosexuels

    Le mariage est l'union légale d'un homme et d'une femme.
    Appelez autrement le contrat.
    Nous demandons un référendum.
    Concernant le cumul des mandats :

    Le monde de l'entreprise excédé par l'inertie du gouvernement face à la tempête économique qui s'annonce Pas d'investisseurs privés donc pas d'emplois et donc pas de croissance. Alors que l'on tourne en rond' les grands acteurs du monde des affaires se mobilisent pour essayer de sauver les meubles et affronter la tempête qui s'annonce. On s'aperçoit qu’aujourd’hui rien n’est plus faux. Un patronat moderne dans la mondialisation a besoin d’une industrie à haute valeur ajoutée. Ce qui fait la force de l’Allemagne c’est son industrie. La Grande Bretagne elle-même' assoie son redressement sur le redressement de son potentiel industriel. Apparemment l’UIMM aurait un homme à présenter. Fréderic Saint-Geours qui était le directeur des marques de PSA' devrait quitter ses fonctions à la direction générale de PSA pour devenir un simple chargé de mission auprès du président. C’est le signe qui ne trompe personne. Fréderic Saint-Geours' sera donc candidat. La question est de savoir si le patronat français a besoin d’un homme comme lui. Alors qu’il n’est pas encore candidat' beaucoup lui reprochent déjà son passé de grand commis de l’état (ENA). La Confédération générale des petites et moyennes entreprises que préside Jean-François Roubaud' ou le très actif CJD' le Centre des jeunes dirigeants qu’anime Christophe Praud  sans parler de Croissance Plus ou même  des "pigeons"' on souhaiterait une solution un peu plus agressive.  "Ce dont on a besoin' c’est d’un combattant de l’entreprise' pour restaurer la confiance dans  la PME' la prise de  risque. Un  'Seillière''  mais qui ne serait ni baron' ni héritier' ni aussi riche et un peu plus jeune …" Pas facile' la quadrature du cercle. Sauf que la situation économique mérite bien un débat sur la place de l’entreprise dans la société.   Sur le front des affaires' les grands patrons sont de plus en plus gênés par le double langage. "On ne peut pas indéfiniment dire à l’international que la France est un bon élève' qu’elle va faire des reformes de fond et ne pas les faire. Il va arriver un moment où les marchés vont craquer. Les marchés savent que le taux de chômage crée une situation sociale extrêmement tendue. Les marchés savent que la réforme portant amélioration de la compétitivité des entreprises passe par une usine à gaz' le crédit d’impôt' qui ne produira pas d’effet dans l’immédiat." Les marchés' les économistes et les chefs d’entreprise ne comprennent absolument pas pourquoi François Hollande continue d’expliquer que "dès qu’il y aura de la croissance' les déficits publics et les déficits sociaux  commenceront à se résorber". C’est forcement vrai' les déficits se creusent aussi parce qu’il n y a pas de recettes' mais cette idée qu’il va falloir attendre que la croissance nous tombe du ciel est absurde. On pourrait certes profiter de la croissance des autres (l’Allemagne en profite bien)' mais pour en profiter il faut se mettre en position. Il faut créer un écosystème qui permette d’attirer les investisseurs privés. Or les investisseurs privés boudent la France pour toutes les raisons qu’on connait. Donc pas d’emplois. Donc pas de croissance. La boucle est bouclée et on tourne en rond. La croissance ne tombe pas du ciel et n’arrive pas par hasard. Il faut la fabriquer.

    sources : www.wikipedia.fr et www.lepoint.fr

    Alors sur ses rivages la mer obscure,
    Comme lisant dans ma pensée, la mer bougea
    Grave elle recouvrit le sable sans empreinte
    Et le sable la but d'une soif infinie
    Elle se retira, laissant sa trace humide
    S'arrêta, lourde à la limite de l'étale;
    Hésitante, le temps d'avoir peur de la perdre
    Et revint tendrement s'allonger devant moi.

    Louis Brauquier (Mouvement de la mer)
    Regards sur les arts Collégiale Notre Dame Lamballe

    Pourquoi la France ne pourra pas se redresser avant septembre... 2014

    Marc Touati économiste, directeur des Etudes Economiques d’Assya Compagnie Financière


    Dans ce contexte particulièrement dramatique, aggravé, qui plus est, par un climat catastrophique depuis trois mois, en particulier au nord de la Loire, il pourrait être tentant, voire salutaire, de tout débrancher. Eteindre son téléphone portable, ne plus écouter la radio, ni regarder la télé, ni même lire les journaux. Pour tout vous dire, c’est exactement ce que j’ai fait (à quelques connexions à Internet et quelques tweets près) depuis une semaine. Et cela fait un bien fou. Seulement voilà, jouer à l’autruche et s’enterrer la tête dans le sable ne sert strictement à rien. Certes, après avoir passé des années à demander à nos dirigeants politiques et monétaires de réduire leur dogmatisme destructeur, en vain, nous pourrions également être tentés de baisser les bras et de prendre un billet sans retour pour un pays où la liberté d’entreprendre est valorisée et où la pression fiscale est raisonnable. Si, si, cela existe toujours. Mais, là encore, quitter le navire serait futile et pourrait même donner des arguments à ceux qui veulent faire de la France un pays « d’égalisation vers le bas ». En voulant exclure de l’Hexagone tous ceux qui gagnent plus de 4 000 euros par mois, ces idéologues d’un autre temps oublient que ce n’est pas en chassant les « riches » qu’on lutte efficacement contre la pauvreté. Bien sûr, certains salaires mirobolants ont de quoi choquer. Cependant, face à de tels excès, il faut simplement se souvenir de trois réalités déterminantes. Primo, si un employeur est assez fou pour payer des salaires démentiels, il n’est pas possible de le lui interdire, sauf à créer une dictature. Secundo, la richesse créée par le « gros salarié » est généralement supérieure à son coût. Et ce, tout d’abord pour l’employeur, au travers des réalisations du salarié. Sinon, il est alors clair que le salarié sera licencié ou que son salaire sera fortement abaissé. Malheureusement, il arrive parfois, notamment en France, que, dans certains cas et pour des raisons obscures (telles que l’appartenance à une caste ou toute autre connivence malsaine), un salarié, voire un patron, complètement inefficace, continue de toucher un salaire excessif. On pourra alors se consoler en pensant que ce « gros salarié » dépensera fortement en France et alimentera par là même le « business » dans l’Hexagone. Tertio, ce salarié, méritant on non, contribuera à augmenter les recettes fiscales et, normalement, permettra par là même à l’Etat Providence de faire son boulot. En résumé, il ne sert à rien de s’offusquer de tel ou tel salaire, car, sauf dans certains cas très spéciaux (banditisme, fraude, castes…), les gains récupérés par la collectivité seront conséquents. C’est d’ailleurs ce qu’a bien compris David Cameron lorsqu’il a appelé les Français et les chefs d’entreprise plus ou moins fortunés à émigrer vers le Royaume-Uni. De la sorte, ces derniers viendront augmenter la consommation et les recettes fiscales outre-Manche, tout en produisant l’effet inverse dans l’Hexagone. Or, s’il y a moins d’activité et moins de rentrées fiscales en France, le déficit public, la dette et le chômage s’accroîtront de nouveau, jusqu’à l’avènement d’une crise sociale sans précédent. Les annonces d’augmentation massive des impôts par l’actuel gouvernement, ainsi que les nombreux plans de licenciements, et notamment celui de PSA, montrent que ces dangers ne sont pas seulement dans la tête de votre serviteur. Ils sont devenus réalités. A ce rythme, MM. Hollande et Ayrault n’auront bientôt plus rien à envier à M. Papandréou. Aussi, sans vouloir casser le climat apparemment apaisé des vacances estivales, il est de notre devoir de continuer à dire la vérité. Oui, le taux de chômage va encore s’accroître fortement en France au cours des prochains mois. Selon nos estimations, il sera d’au moins 12 % d’ici l’été 2013. Et encore, ce résultat tient compte de la faible augmentation de la population active. Si nous étions dans les années 1990 (lorsque cette dernière progressait d’environ 300 000 personnes par an), le taux de chômage serait déjà supérieur à 12 %. En outre, n’oublions pas toute l’ingéniosité dont ont fait preuve nos hauts fonctionnaires pour créer des mesures « d’accompagnement social » du chômage, qui ont surtout pour but de réduire le nombre officiel de chômeurs. Pour ne rien arranger, lorsqu’on observe les réactions et les propositions de l’actuel gouvernement pour essayer de restaurer la croissance et/ou de faire face aux différents plans de licenciement, cela fait froid dans le dos. Peut-on effectivement continuer de laisser croire aux Français que l’Etat a encore les moyens de créer des aides factices pour tel ou tel secteur d’activité, voire qu’il pourrait s’ingérer dans les affaires internes d’une entreprise privée quitte à monter dans son capital ? Arrêtons donc de prendre des vessies pour des lanternes. Depuis une vingtaine d’années, la France s’est engagée avec obstination dans une voie sans issue, avec, à droite, l’augmentation des dépenses publiques, à gauche, l’accroissement des impôts et, au bout du chemin, la faillite. Aujourd’hui, le mur se rapproche dangereusement. Mais la France accélère et klaxonne, pensant peut-être qu’ainsi le mur va disparaître. Evidemment, il n’en sera rien. Malheureusement, c’est notre génération qui va devoir gérer le choc frontal. Et ce, alors qu’elle n’y est pas du tout préparée et que nos dirigeants le sont encore moins. Si beaucoup d’économistes continuent également de se voiler la face, espérant un poste de sous-fifre dans tel ou tel ministère, ou une légion d’honneur, ou simplement une petite faveur, nous continuerons de faire notre travail et de dénoncer ces errements. Nous n’appartenons à aucun courant politique. Nous voulons simplement que la France se redresse. Vu les circonstances, elle ne pourra pas le faire avant septembre… 2014, c’est-à-dire une fois que la crise sociale aura obligé les dirigeants français à faire un virage à 180° et en espérant que la zone euro n’aura pas disparu d’ici là.

    source : www.atlantico.fr
    Des mesures économiques floues !

    Marc Touati économiste, directeur des Etudes Economiques d’Assya Compagnie Financière


    Le principal problème est celui du flou qui entoure les mesures qui seront prises par François Hollande du fait des élections législatives qui approchent. La faible culture économique française crée une habitude consistant à entretenir ce flou. Un coup de pouce en faveur d’une revalorisation du SMIC ne déstabilisant pas les entreprises suppose de connaître le niveau à partir duquel les entreprises commencent à être affectées. Or, une augmentation supérieure à 2% couterait chère aux entreprises : il s’agit d’un niveau excessif pour la compétitivité française.

    Une augmentation des impôts visant à accroitre les dépenses risquerait de mettre à mal le peu de croissance qu’il nous reste ainsi que les recettes fiscales, ce qui se traduirait par un accroissement du chômage et des déficits. Clairement, je pense que tout le monde va payer, mais la classe moyenne haute sera probablement la plus soumise à contribution. Dans un premier temps, cela permettra une augmentation des recettes fiscales. Mais succédera une seconde phase caractérisée par une baisse de la croissance et donc des assiettes fiscales elles-mêmes. Ce qui sera gagné à court terme sera donc perdu en 2013...

    Il s’agit donc d’une fuite en avant qui correspond aux politiques menées depuis plus de 25 ans du fait de notre manque de culture économique : nous augmentons les dépenses publiques en payant la facture par une augmentation des impôts qui vient casser à la fois notre crédibilité et notre compétitivité. Il faut donc une prise de conscience. Au cours de sa campagne, le candidat socialiste misait avant tout sur la croissance. Si celle-ci n’est plus au rendez-vous, son programme n’est-il pas remis en cause en tant que Président ?

    Je pense que nous n’avons plus le choix. Vu que la croissance n’est pas là, nous ne pouvons plus appliquer les promesses du candidat Hollande. Bien qu’efficaces à court terme, elles se traduiront par une facture plus élevée à long terme. François Hollande devra très vite revenir à la réalité. Il a fallu deux ans pour que Mitterrand revienne à la réalité après son élection. Aujourd’hui, en 2012, cela ne prendrait que trois mois. En effet, en 1981, la dette publique était de 20% du PIB et détenue à 80% par des investisseurs français alors qu’aujourd’hui celle-ci est de 90% du PIB, les deux tiers étant détenus par des investisseurs étrangers. Nous n’avons donc plus le temps que nous disposions en 1981.

    Je pense que le mois de septembre sera crucial : ce sera quitte ou double. Soit nous parvenons à nous entendre avec les Allemands afin de réduire nos dépenses publiques, soit nous entrons dans une situation d’extrême tension avec l’Allemagne et nous connaitrons une crise bien plus grave que celle que nous vivons actuellement. Plus généralement, augmenter la dette n’est pas responsable vis-à-vis des générations à venir puisque ce sont elles qui devront payer la note. De plus, nous n’en avons plus les moyens : si nous continuons à augmenter la dette publique, les taux d’intérêt que nous payons sur nos emprunts augmenteront. Nous sommes arrivés à un quasi-point de non retour. Il faut donc stabiliser la dette publique et diminuer nos dépenses par la suite.

    Si nous souhaitons rester une grande puissance dans le concert des nations, il faut arrêter d’augmenter une dette publique qui ne génère pas de croissance c'est à dire qui finance des dépenses de fonctionnement et non d’investissement. Aussi, pour obtenir de la croissance, il faut aussi solliciter une politique monétaire adéquate au sein de la zone euro caractérisée par une baisse du cours de l’euro et un soutien aux pays en difficulté... Mais la BCE n’acceptera que si la France baisse ses dépenses publiques. Quelles sont les marges de manœuvre du nouveau gouvernement ?

    A l’heure actuelle, François Hollande bénéficie du bénéfice du doute car aucune mesure n’a encore été prise. Mais une fois les législatives passées, l’annonce d’une augmentation des dépenses publiques se traduirait par une dégradation de la note souveraine française (émise par les agences de notation, ndlr) et par de plus grandes difficultés au sein du couple franco-allemand. Une telle inquiétude sur la zone euro serait pénalisée par une augmentation des taux d’intérêt sur les marchés. Pourtant, peu de personne en parle réellement.

    La seule bonne nouvelle pour le nouveau Président élu est la récente baisse de l’euro susceptible de ramener un peu de croissance dans les six prochains mois, même s’il convient de rester prudent du fait d’un fort risque de retour en récession. Mais le discours qui consiste à dire que les caisses ne sont pas vide et qu’il y a encore de l’argent est le même que celui tenu par Georges Papandréou (ancien Premier ministre grec de 2009 à 2011, ndlr) en 2009.

    Il est possible que Hollande annonce des mesures de relance par la dépense publique, une décision qui sera rapidement sanctionnée par les marchés. Au mois de septembre, la gauche devra alors peut être revenir en arrière sans quoi elle ira à une confrontation directe avec l’Allemagne, ce qui risque de déstabiliser la zone euro. Le dernier rapport de la Cour des comptes publié ce mercredi fait état de vives préoccupations quant aux dépenses publiques. Où le nouveau président élu peut-il réaliser de nouvelles économies ?

    Nous avons une très grande marge pour diminuer nos déficits, la dépense publique représentant 56% de note PIB, contre 46% en Allemagne et 43% en Espagne. Nous sommes donc bien au dessus. Depuis dix ans, les dépenses de fonctionnement - toutes dépenses publiques confondues - ont augmenté de 10 milliards d’euros par an soit 100 milliards sur dix ans. Il faut donc les réduire en supprimant des strates de dépenses comme dans les départements ou le Sénat par exemple. Il faut également moderniser la fonction publique, ce qui peut permettre de gagner au minimum 20 milliards d’euros rapidement. Il faut simplement le courage politique adéquate.

    source : www.atlantico.fr
    Economistes, sans parti pris idéologique, nous soutenons Sarkozy

    Bernard Belloc (université de Toulouse), Marc Ivaldi (Ecole d'économie de Toulouse et EHESS), Philippe Mongin (CNRS et HEC), Philippe Trainar (économiste), Régis Bourbonnais (Paris-Dauphine), Philippe Chalmin (Paris-Dauphine), Eric Chaney (économiste), Jacques Crémer(CNRS), David Encaoua (Paris-I), Claude Gamel(Aix-Marseille), Louis Lévy-Garboua (Ecole d'économie de Paris et Paris-I), Philippe Gagnepain (Ecole d'économie de paris et Paris-I), Jean-Pierre Laffargue (Paris-I), Michel Moreaux (Toulouse), Christian Morrisson (Paris-I), Bertrand Munier (IAE Paris), Emile Quinet (Ecole d'économie de Paris et Ecole des ponts ParisTech), Dominique Roux (Paris-Dauphine), Jacques Thépot (Strasbourg).


    Depuis 2007, grâce à Nicolas Sarkozy et François Fillon, la réforme a cessé d'être un slogan vide comme elle l'a été trop longtemps par le passé.

    Du quinquennat écoulé, nous retiendrons particulièrement les dispositions sur les retraites, qui enregistrent cette évidence que le régime des pensions doit s'ajuster à l'espérance de vie ; la loi relative aux libertés et responsabilités des universités, qui confère aux universités l'autonomie dont jouissaient déjà les collectivités locales et les entreprises publiques ; l'instauration du revenu de solidarité active, qui améliore un système d'allocations foisonnant et désincitatif ; ces autres simplifications nécessaires qu'apportent les nouvelles cartes judiciaire et militaire ; la modernisation du service public grâce à des fonctionnaires un peu moins nombreux mais mieux rémunérés ; la loi Hadopi contre le téléchargement illégal, imparfaite mais préférable au statu quo.

    La politique de la demande, chérie des politiques malgré son inefficacité aux yeux des experts, a été enfin rétrogradée derrière la politique de l'offre, et le soutien aux entreprises s'est traduit de nombreuses manières : abolition de la taxe professionnelle, extension du crédit d'impôt recherche, assouplissement relatif du contrat de travail, investissements du grand emprunt, statut de l'autoentrepreneur, sans parler des abaissements de charges maintenus pour compenser l'effet destructeur des 35 heures.

    La transparence de la politique économique a bénéficié du renforcement constitutionnel du parlementarisme et de gestes courageux, comme l'abandon de la présidence de la commission des finances à l'Assemblée nationale ou la nomination d'un opposant à la tête de la Cour des comptes.

    Certes, le bilan reste en deçà des plus hautes espérances. Nous regrettons que la suppression des niches fiscales et l'instauration de la TVA sociale interviennent si tard, que la réduction des déficits publics soit trop confinée à l'Etat central, alors que la gabegie des dépenses de santé perdure et que les collectivités locales maintiennent une gestion dispendieuse.

    Nous déplorons que la pédagogie des réformes ait été imparfaite, notamment parce qu'elles ne se sont pas inscrites dans un plan d'ensemble annoncé. Mais, après des décennies perdues, il faut savoir gré à Nicolas Sarkozy et François Fillon d'en avoir mené autant de front. Il nous semble indiscutable que la France de 2012 est beaucoup mieux adaptée que celle de 2007 aux exigences de la construction européenne et de la mondialisation.

    Ce résultat est d'autant plus impressionnant que la crise a sévèrement limité les marges de manoeuvre. D'autres auraient abandonné les politiques structurelles pour ne s'occuper que de conjoncture, et il n'est pas clair qu'ils auraient fait mieux dans cet ordre : le taux de chômage français était en 2007 supérieur de 0,9 % à celui de la zone euro ; en 2012, il lui est de 0,8 % inférieur.

    Un bilan n'est pas tout, et les choix électoraux se font aussi d'après les perspectives. Diminuée par la crise, la France a plus que jamais besoin de réformes pour respecter la discipline de l'euro et affronter la concurrence mondiale, et elle doit choisir le candidat qui saura le mieux les conduire tout en étant capable d'affronter de nouveaux paroxysmes.

    Le programme du candidat socialiste François Hollande fait sans doute preuve d'une certaine retenue. Il a multiplié les générosités en direction de ses clientèles - titulaires du smic, automobilistes, enseignants, fonctionnaires - mais bien qu'elles nous semblent déplacées, nous n'en faisons pas le centre de notre critique. Nous prenons acte de son engagement, au moins nominal, sur un échéancier de réduction des déficits publics et de l'annonce discrète qu'il ne reviendrait pas sur toutes les réformes effectuées depuis 2007 (mais malheureusement sur la TVA sociale et la loi sur les retraites, avec un coût élevé pour les entreprises dans les deux cas).

    Les perspectives ouvertes par M. Sarkozy nous impressionnent beaucoup plus favorablement. Lui aussi consent des libéralités, mais elles restent mesurées et, pour réduire les déficits, il ose faire porter l'effort jusqu'à deux tiers sur les dépenses publiques, alors que son rival, fidèle au programme du Parti socialiste, ne sollicite guère que les prélèvements.

    Il s'en prend même, encore que trop vaguement selon nous, à ces deux vaches sacrées que sont l'assurance-maladie et les collectivités territoriales. Il veut continuer à faire baisser les charges salariales de façon plus convaincante que par le moyen douteux du contrat de génération. Enfin, il promet d'autres réformes indispensables de l'Etat-providence pour lesquelles son bilan le rend crédible, alors qu'elles nous semblent hors de portée politique de François Hollande, comme celles de l'assurance-chômage et de la formation professionnelle.

    Pour améliorer la vie de ses citoyens, compter dans le monde et rester à la hauteur de ses engagements internationaux, la France doit encore se moderniser profondément. Ni de droite ni de gauche, la science économique aide à délibérer les choix, et elle a informé le nôtre : des deux candidats, Nicolas Sarkozy nous semble le mieux capable de prendre l'avenir à bras-le-corps.

    source : www.lemonde.fr
    Si la gauche gagne les élections, elle héritera d’un déficit public structurel dont elle est responsable. François Ecalle, économiste

    Avant 2007, 30 ans de laxisme budgétaire
    Pour mesurer la part de responsabilité de chaque gouvernement dans l’évolution du déficit, il faut donc neutraliser l’impact des variations conjoncturelles du PIB, ce qui est habituellement fait en mesurant le « déficit structurel ». Le président de la République actuel a hérité en 2007 d’un déficit structurel compris entre 3,5 et 4 % du PIB, l’a aggravé jusqu’à 2010 où il a atteint environ 5 % du PIB puis l’a diminué et, en 2012, le déficit structurel sera très probablement ramené au-dessous de son niveau de 2007. Le vainqueur des prochaines élections héritera donc d’un déficit structurel inférieur à celui de 2007, lui-même imputable à trente ans de laxisme budgétaire.
    Pour mieux différencier les responsabilités, il faut déterminer les mesures de politique économique qui sont à l’origine des variations du solde structurel d’une année à l’autre : le degré de maîtrise, ou de relâchement, des dépenses publiques, d’une part ; le montant des mesures nouvelles de hausse, ou de baisse, des prélèvements obligatoires, d’autre part. L’addition de leurs effets donne ce qu’il est convenu d’appeler « l’effort structurel ».
    Cet effort structurel correspond approximativement à la variation du solde structurel d’une année à l’autre. S’il est négatif, cela signifie que l’évolution des dépenses et les mesures nouvelles afférentes aux prélèvements obligatoires ont contribué à aggraver le déficit structurel, (et inversement s’il est positif).
    Le nouveau traité européen qui vient d’être signé et la loi française de programmation des finances publiques imposent un effort structurel positif minimal pour les années à venir.
    De la fin des années quatre-vingt à 2012, le déficit structurel a augmenté d’environ 2 points de PIB.
    Les gouvernements de gauche ont contribué à l’aggraver à hauteur de 4,7 points, du fait d’une très forte croissance des dépenses publiques dans les années 1989-1993 et d’importantes baisses des prélèvements obligatoires dans les années 1999-2002.
    Les gouvernements de droite l’ont globalement réduit de presque 3 points de PIB, avec un effort très significatif dans les années 1994-1997, un relâchement dans les années 2003-2007 et un nouvel effort dans les années 2008-2012, les mesures de redressement de 2011 et 2012 faisant plus que compenser celles qui ont été prises au début du quinquennat.

    source : www.debateco.fr/analyses/120323-ecalle-deficit-match-gauche-droite
    Témoignage : “Mes six ans avec Sarkozy” Maxime Tandonnet
    Comment se comporte le président sortant, loin des micros et des caméras ? Témoignage d'un de ses collaborateurs directs, qui s'est occupé jusqu'en septembre dernier de deux des dossiers les plus sensibles de ces dernières années : l’immigration et la sécurité.
    J’ai mon idée personnelle sur ses qualités et ses défauts. J’ai toujours été effaré par la propagande haineuse qui s’est déchaînée contre lui : les couvertures de magazines indignes : « est-il fou ? cet homme est dangereux, le voyou de la République. » Je me souviens de cette histoire d’un enseignant ayant accolé sa photo dans une salle de classe à l’initiative d’un élève auquel était demandé de représenter « le méchant ». Pour ceux qui le connaissent – même un peu, comme c’est mon cas – le décalage entre la réalité et l’image qui est donnée de lui est sidérant. Nicolas Sarkozy est un personnage profondément humain, je n’ai jamais vu personne d’aussi accablé en face de la douleur et de la misère des autres. Tout le temps passé à recevoir les parents de victimes, cela n’a rien de protocolaire ou de volonté d’affichage. Il le fait, comme aucun Président avant lui, parce que c’est ainsi qu’il conçoit son devoir, auprès de ses compatriotes malheureux. Laisser entendre qu’il n’aime pas les gens est un mensonge d’une grossièreté infinie. C’est tout le contraire, je l’ai vu à plusieurs reprises, sans la presse, sans les caméras, passer des nuits auprès de chauffeurs d’autobus agressés par des voyous, auprès de jeunes des cités, de commerçants, de policiers, non pour l’affichage, mais pour les écouter et leur parler. Nicolas Sarkozy ne cesse de travailler, de créer, d’innover, insatiable de réformes, trop seul dans un océan d’inertie : les internats d’excellence, les peines planchers, la détention de sûreté, les jurys populaires en correctionnelle, la suppression de la taxe professionnelle, ce sont des exemples de ses idées personnelles qu’il a imposées contre le conservatisme, y compris d’une partie de son entourage. En matière d’immigration, des réformes considérables ont été accomplies sous son autorité, sur les reconduites à la frontière ou de regroupement familial, qui ont été caricaturées ou ignorées. Nicolas Sarkozy est un vrai « national », extrêmement remonté contre les aspects bureaucratiques et paralysants de la construction européenne ou les excès de la décentralisation, même si, par pragmatisme, il préfère lutter en coulisse contre ces phénomènes plutôt que de provoquer des crises supplémentaires. Il est le seul, dans la classe dirigeante, à pouvoir se mettre en colère – violente – parce que le drapeau tricolore a été profané ou la Marseillaise sifflée, dans un océan d’apathie et d’indifférence. Quand il dit qu’il veut protéger les Français de la crise, c’est une véritable obsession chez lui. Tout cela, je l’ai vu et vécu. Je connais aussi ses défauts, son incapacité à se taire quand il le faudrait, une confiance parfois excessive envers une partie de son entourage. Mais si par malheur il est battu, je ne donne pas six mois aux Français pour le regretter amèrement dans le chaos qui s’annonce. Je sais par avance les moqueries et l’indignation, de droite et de gauche, que mon bref témoignage va déclencher, mais je ne demande à mes lecteurs que de croire en ma sincérité et en ma loyauté à leur égard : je ne fais plus partie de “l’entourage” dont on m’a écarté, et je n’ai pas la moindre espèce d’ambition personnelle, surtout pas politique. J’ai seulement envie d’apporter ma part de vérité, même modeste, à la veille d’une échéance importante.

    source : http://www.atlantico.fr/decryptage/temoignage-six-ans-avec-sarkozy-maxime-tandonnet-330313.html
    Concernant le socialisme Leçon d'économie (Dr. Adrian Rogers 1931) :
    Un professeur d'économie dans un lycée annonce fièrement qu'il n'a jamais vu un seul de ses élèves échouer mais par contre, une année, c'est la classe entière qui a connu l'échec. Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n'y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire parfait. Le professeur dit alors:"OK donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.
    Après le 1°contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20. Les élèves qui avaient travaillé dur n'étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n'avaient rien fait et qui eux étaient ravis.
    A l'approche du 2° contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s'étaient donné de la peine pour le 1° test décidèrent de lever le pied et de moins réviser. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20! Personne n'était satisfait.
    Quand arriva le 3° contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d'oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu'un d'autre.
    A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l'effort pour l'obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n'essaie de réussir.
    Les choses sont aussi simples que ça.
    Petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses :
    "Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche. Tout ce qu'un individu reçoit sans rien faire pour l'obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit. Tout pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu'il a préalablement confisqué à d'autres. Quand la moitié d'un peuple croit qu'il ne sert à rien de faire des efforts car l'autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu'il ne sert à rien d'en faire car ils bénéficieront à d'autres, cela, mes amis, s'appelle le déclin et la fin d'une nation. On n'accroît pas les biens en les divisant."

    source : http://blog-sociologique.blogspot.fr/2010/06/lecon-deconomie-dr-adrian-rogers-1931.html
    Concernant la pose d'une voie de chemin de fer à Langueux En 2005, près de 1000 personnes habitant Langueux et les commune avoisinantes, ont dit non par pétition, à la pose d'une voie de chemin de fer sur le chemin des douaniers appelé Harel de La Noë, entre Boutdeville et Cesson. Il s'agit d'un chemin de Grande Randonnée (GR34), inconstructible, réservé aux familles, aux cavaliers, aux handicapés, ... "Nous voulons pouvoir nous promener tranquillement, dans le calme, à l'abri de la pollution, et admirer la beauté des paysages sauvages, les oiseaux, sans risques pour les enfants et les animaux de compagnie." L'association Vivarmor, l'association des Cavaliers de la baie, et l'association des randonneurs de Bretagne, ont également exprimé leur opposition.
    Concernant l’élection présidentielle : une vérité qui dérange Les candidats échouent complètement à reconnaître que le pays fait face à une crise économique imminente. La vérité qui dérange est que la France, la deuxième plus grosse économie dans la zone euro après l’Allemagne, se retrouve coincée dans l’étau de ses finances publiques.
    Comment le pays peut-il justifier son administration publique gigantesque – un millefeuille de communes, de départements, de régions et de l’État central – qui emploie 90 fonctionnaires pour 1000 habitants contre 50 en Allemagne ? Comment la France peut-elle alléger le fardeau fiscal, en incluant les charges sociales sur la masse salarie, pour encourager l’entrepreneuriat et la création d’emplois ? «Le vrai risque pour la zone euro n’est pas la Grèce, mais la France» a dit un haut dirigeant français de la finance.
    Bien que Nicolas Sarkozy, le Gaulliste sortant, et François Hollande, son rival socialiste, aient adhéré à la réduction des déficits, chacun jurant de ramener le déficit de la France à 3% du PIB l’année prochaine, aucun n’a promis de le faire par des coupes radicales dans les dépenses publiques.
    Passez du temps avec les chefs des plus grandes entreprises françaises, comme Schneider Electric, vous verrez que leurs préoccupations sont globales. Ils parlent du Brésil et de la Chine, et ils regardent constamment leur compétitivité internationale. Ces firmes connaissent parfaitement bien les dégats que pourrait occasionner une imposition à 75%.
    "Une catastrophe" dit un des dirigeants. "Complètement fou" dit un autre.
    Les Français vivent avec cette contradiction nationale – ils profitent de la richesse et des emplois que les entreprises transnationales ont apporté et dénoncent en même temps le système qui les a créés – parce que l’élite dirigeante et les médias les ont convaincu qu’ils sont victimes des marchés mondialisés.
    Plutôt que de réagir à ces attitudes et de secouer les Français pour les faire sortir de leur zone de confort, les deux favoris se plient aux attentes du peuple.
    Tout cela laisse aux électeurs la tâche peu enviable de décrypter les messages de chaque candidat pour en déceler la partie crédible de celle qui est de la pure fantaisie. L’idée la plus probable est que les deux favoris, pour leur propre sécurité politique, auraient besoin de mettre en place quelques unes de leurs idées excentriques. Cela pourrait causer d’énormes dégâts. En 2007, après avoir parlé très durement de l’immigration, M. Sarkozy se lança et créa le ministère de l’identité nationale, pour finalement le supprimer plus tard, après avoir causé beaucoup d’indignation en cours de route. Si, une fois président, Hollande mettait en place sa nouvelle tranche d’imposition à 75% – au moment même où la Grande-Bretagne a diminué le taux de sa tranche marginale de 50 à 45% – cela enverrait un signal négatif à l’étranger sur la façon dont la France traite les succès financiers, comme la semaine des 35 heures a terni l’image du pays pendant des années. Sa politique fiscale pousserait dans l’ensemble les entrepreneurs français à croire qu’ils feraient mieux de lancer leurs nouvelles idées à l’étranger.
    La vérité qui dérange est que quiconque remporte la victoire le 6 mai aura besoin d’une approche rigoureuse du déficit, pour faire face à des marchés obligataires méfiants et à une possible récession. Sarkozy devrait trouver de nouvelles économies budgétaires, en dépit de sa promesse de «protéger» les Français de l’austérité. Hollande serait forcé de remettre à plus tard quelques unes de ses promesses coûteuses, et de goûter à l’inflexibilité allemande s’il insistait à pousser la chancelière Angela Merkel à revoir le pacte de stabilité. De toute façon, le résultat serait une crise pour les Français, et ni l’un ni l’autre ne les a préparés à cela.

    Article traduit issu du magazine "The Economist" du 31 mars 2012
    source : www.24heuresactu.com/2012/04/05/lelection-presidentielle-une-verite-qui-derange/

    Article complet
    Concernant l'affaire SeaFrance : Selon le rapport particulier de la Cour des comptes du 13 mars 2009 relatif aux comptes et à la gestion de SeaFrance pour les exercices 2004 à 2007, la situation financière de la compagnie maritime était déjà fragilisée. Les sages avaient déjà pointé plusieurs "spécificités" qui menaçaient de couler SeaFrance.
    1) le recrutement s'effectue largement par cooptation selon des critères peu transparents. Les recommandations familiales et surtout l'appui de la formation syndicale majoritaire entrent comme un facteur déterminant dans la sélection des candidats. Il en résulte des personnes peu motivées et n'ayant souvent aucune qualification
    2) La Cour note que l'absentéisme a augmenté sur la période bien plus vite que les effectifs de SeaFrance. Le nombre de journées d'absence étaient de 51 998 en 2004 et de 66 404 en 2007 soit une augmentation de 28%. Ce qui quand on ramène ce chiffre aux 1699 salariés de l'entreprise, représente une moyenne de 39 journées d'absence par an et par salarié. Pour la part la plus importante de l'absentéisme (90% des arrêts maladie sont hors navigation) aucun contrôle n'est finalement exercé 
    3) le rapport constate que les délégués CFDT bénéficient d'avantages exorbitants dénoncés début 2007 par l'intersyndicale des officiers de SeaFrance. Et de citer par exemple des promotions de personnels arrivant en fin de carrière à des postes d'assistants officiers ne correspondant pas aux qualifications des intéresses
      4) La Cour s'étonne de ce que la compagnie continue de payer en congés un certain nombre de personnels en particulier des ADSG (Agent de service général), bien au-delà de la fin de leurs congés acquis au lieu de les embarquer.
    Source : http://www.atlantico.fr
    Article complet
    Le temps n'est pas toujours l'ami de la vie. Le temps n'arrange pas les choses. Il jaunit les photos, ride les hommes et les femmes. Il ne faut certainement pas laisser le temps au temps. Le temps tue l'amour dans la routine. Si on veut tuer le temps, on est sûr de sortir perdant.
    Pour être gagnant-gagnant, il faut prendre le temps, faire avec le temps, sans perdre son temps de vie.
    Abdou Diouf, Patchwork : des fragments de vie, éditions Publibook
    Concernant l'enseignement : Extrait interview Chantal Delsol, professeur à l'université de Marne-la-Vallée (http://www.uni.asso.fr/spip.php?article10261)

    On voudrait une école qui soit partout la même, alors que les enfants sont différents les uns des autres. Traiter différemment les enfants, de façon à mieux répondre à leurs besoins, n'est pas source d'inégalité contrairement à ce que certains croient.
    La volonté de supprimer des notes, par exemple, vient d'un système idéologique. Ce sont des réformes que l'on essaie d'imposer d'en haut en faisant peu de cas de la réalité. Sur le terrain, je connais un certain nombre de classes où les bons points, les rubans, les choses anciennes sont remises au goût du jour parce que tout simplement, l'enfant a besoin de cela.
    Les étudiants, c'est clair Certains s'en fichent Ils ne viennent même pas aux examens, ou ne rendent pas leur mémoire. Ils sont inscrits pour la 3ème année en première année de master juste pour bénéficier de l'assurance santé. Ils font forcément perdre du temps aux enseignants à tel point qu'un collègue qui n'est ni de droite ni libéral m'a dit "si ces étudiants payaient, ils feraient peut-être moins les malins". Chaque année, on voit des choses incroyables parce que les étudiants ne sont pas responsabilisés Il faudrait que les étudiants paient 2 000 euros par an. Soit ce sont les parents qui paient et motivent leurs enfants, soit, ils ont une bourse au mérite.

    Concernant la question : " A quelques mois des élections présidentielles, faut-il être optimiste ou pessimiste quant à l'avenir de l'université, de l'éducation et de l'école ? "

    Je vous avoue que je ne suis pas très optimiste dans ce domaine. Je suis optimiste de manière générale parce qu'au fond nous ne sommes pas le dos au mur. J'ai une grande confiance en nos capacités. Je vois l'équipe actuelle qui a fait pas mal de choses, des choses difficiles. Evidemment on est très très loin de ce qu'on pourrait attendre mais en même temps je sais que c'est très difficile. Si cette équipe gagne à nouveau, elle va continuer à faire son travail. Si les socialistes sont au pouvoir, nous sommes fichus dans ce domaine, on va repartir dans l'abondance des fonctionnaires qu'on va réembaucher.
    Article complet
    Concernant l'aménagement futur de la zone du Tertre Roger à Langueux, les gens préfèrent les pavillons avec parcelles individuelles, au lieu de logements collectifs. Pour le vérifier, il suffit de leur demander. Ce serait une meilleure démarche plutôt que celle qui consiste à décider pour les autres.
    Concernant la mise en place d'abris de vélos, c'est une bonne idée à condition qu'ils soient réellement utilisés. Sinon c'est du gaspillage aux frais des contribuables.(voir abri de vélos situé devant La Poste)
    Pierre
    Vous ne voyez que la noirceur d'un long manteau qui traîne, et moi la blancheur d'une robe d'été.
    Je ne suis qu'une ombre, et vous qu'une clarté.
    Cyrano de Bergerac, Edmond Rostand
    Concernant le déficit public, petit rappel : déclaration de M. Eric Woerth,
    ministre du budget, le 28 janvier 2010. Extraits :

    Compte tenu du contexte économique mondial,
    l'évolution récente du déficit public, bien qu'impressionnante, s'explique assez clairement.
    En revanche, ce qui est plus difficile à justifier,
    c'est pourquoi le budget des administrations de la France n'a jamais été en excédent depuis 1974...
    Les charges d'intérêt de la dette constituent en 2009 l'un des premiers postes budgétaires, après l'Education nationale, loin devant la Défense, ou la Recherche.
    ...en théorie, le rééquilibrage des finances publiques peut passer par une augmentation des impôts, et/ou par une diminution des dépenses.
    En réalité, il n'est pas certain que la France dispose d'un choix de politique économique aussi clair, pourquoi ?

    Premier constat, nous avons, avec la Suède et le Danemark, le taux de dépense publique dans le PIB le plus élevé d'Europe, d'environ 55 points de PIB en 2009, soit plus de 1 000 Mdeuros.
    Si l'on regarde la composition de la dépense publique, tous les secteurs y contribuent largement : de l'ordre de 20 %
    pour les collectivités locales, de 35 % pour l'Etat et ses opérateurs, et de 45 % pour les administrations de sécurité sociale.
    Il est clair que l'Etat ne pourra pas réussir tout seul à maîtriser l'ensemble de cette dépense.
    Depuis plusieurs années, l'Etat a ralenti la progression de ses dépenses.
    Parallèlement, la dépense des administrations de sécurité sociale est restée dynamique...La dépense des collectivités locales a également rapidement progressé.
    En ce qui concerne les effectifs, l'Etat a supprimé 100 000 postes sur la période récente (2007-2010), alors que l'emploi public local continue d'augmenter. Les effectifs des collectivités locales ont par exemple augmenté de 120 000 sur les trois dernières années
    connues (2005-2007), là encore hors transferts liés à la décentralisation, alors que ceux de l'Etat ont diminué de 28 500.

    Après ce diagnostic sur la dépense, qu'en est-il des recettes ?
    Les prélèvements obligatoires en 2008 étaient d'environ 43 %. Cela reste cependant trop : pour l'ensemble des recettes, la France se situe toujours largement au-dessus de la moyenne
    de la zone euro et des pays de l'OCDE. ... cela handicape lourdement la compétitivité et l'attractivité de notre pays.
    Quand on observe un écart aussi important entre les recettes et les dépenses, alors même que les recettes publiques sont parmi les plus élevées au monde, c'est bien que le problème se situe du côté des dépenses.

    Je précise qu'agir sur la dépense ne signifie pas "casser" la dépense publique comme on peut l'entendre ça et là, mais ralentir son rythme de progression. N'oublions pas que depuis de nombreuses années, la dépense publique par habitant, progresse chaque année d'environ
    500 à 600 euros par Français. Il s'agit de réduire cette progression de moitié.

    Source : http://www.budget.gouv.fr, le 10 février 2010
    Discours complet
    Derrière les ennuis et les vastes chagrins
    Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse,
    Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
    S'élancer vers les champs lumineux et sereins ;

    Celui dont les pensées, comme des alouettes,
    Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
    Qui plane sur la vie et comprend sans effort
    Le langage des fleurs et les choses muettes !

    Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Elévation, extrait
    Les 22 et 23 octobre â l’école Saint-Ilan â Langueux :
    les Rendez-Vous de Saint-Ilan : Jardin & Gastronomie

    Plus de 30 EXPOSANTS
    COURS de Cuisine d’Oenologie, Dégustations ...
    CONFERENCES, Démonstrations de jardinage
    VENTE de Végétaux, de Produits du Terroir
    De nombreux ATELIERS PRATIQUES
    Entrée 2 euros
    Gratuit moins de 12 ans
    Concernant l épreuve de math du Bac S :
    Le ministère a choisi de ne pas annuler la totalité de l’ épreuve mais de "neutraliser" l’exercice concerné, autrement dit de ne pas le prendre en compte. Cette décision est contestée y compris par des parents d’élèves qui ont saisi la justice notamment parce que cet exercice de probabilités constituait, d’un avis quasi unanime, la partie la plus facile du sujet et que, placé en première position, il est aussi celui sur lequel nombre de candidats ont passé le plus de temps.
    http://www.la-croix.com
    Concernant l’affaire DSK :
    Extrait interview Denise Bombardier (http://sites.radiofrance.fr/franceinter/)
    "je suis choquée ... on a oublié de dire qu’il y ’ avait une victime potentielle j’ai entendu un homme instruit dire devant moi qu’une fellation n’est pas un viol, sur quelle planète je suis ? ... les gens connus et puissants se permettent tout alors que le français moyen ne se permet pas tout ... il faut que les puissants comprennent que devant la loi, on est tous égaux ... ils doivent changer leur comportement ..."
    Platon 429-347 av JC (extrait de La République) :
    "Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au dessus d’eux l’autorité de rien ni personne, alors c’est bien là en toute beauté le début de la tyrannie ..."
    Photo souvenir : le 1 mai 2010,
    20 ème anniversaire du jumelage Wadebridge - Langueux

    Comité de Jumelage & Twinning Association

    jumelage Wadebridge
    Un message de Frédéric :
    Pensez à la nature,
    Dans les forêts, préférez le VTT à la moto.
    Découvrez les parcours dans les arbres,
    beaucoup d’émotions tout en respectant l’environnement.
    Sur l’eau, préférez les voiliers aux jet-skis.